TÉMOIGNAGES
Voici plusieurs témoignages offerts par des personnes qui affirment que la Biologie TotaleMD constitue l’approche unique ou principale leur ayant permis de retrouver leur état de santé et de bien-être normal, ou d’avoir bénéficié d’une amélioration importante de celle-ci. Pour faciliter les recherches, nous avons répertorié les témoignages selon la nature de la pathologie. Nous encourageons toute personne ayant pu bénéficier de l’apport de la Biologie Totale à rédiger son témoignage afin d’établir une liste de cas pratiques pouvant être utiles aux lecteurs. Afin de protéger la vie privée des individus, un pseudonyme est utilisé pour chaque témoignage. Au besoin, il nous fera plaisir de vous assister dans votre démarche.
Lara Fabian – Problématique au foie |
Pierre Légaré – Cancer de la vessie |
Allergies (soleil, noix)
Allergie au soleil
Je suis allergique au soleil depuis environ 16 ans.
L’année qui a précédé cette allergie, du mois de mars à octobre, mon mari et moi avions vécu séparément : lui au chalet et moi, en ville. L’été suivant, ma peau a réagi violemment en présence du soleil et c’est ainsi depuis 16 ans. Dimanche dernier, première belle journée ensoleillée de la saison, j’ose passer une petite heure avec des amis dans la cour arrière au soleil. Malgré les précautions habituelles respectées, les parties exposées ont réagi à nouveau.
J’ai retrouvé le conflit programmant de cette allergie avec l’aide de Dominique et suite à la question « Qui a retrouvé un membre de sa famille ? ». Je me suis souvenue de ce dimanche. Toute la famille était en pique-nique au bord du lac. Pas très loin, dans le boisé, derrière la plage, on pouvait y cueillir des bleuets. Mon frère et deux de mes sœurs s’y sont aventurés et s’y sont égarés. Plusieurs adultes les ont cherchés jusqu’à la brunante. Je me souviens du désarroi de ma mère ce jour-là et de nos larmes à tous. Ma mère ne voulait plus aller en pique-nique les beaux dimanches ensoleillés alors que mon père insistait.
Je me rappelle ensuite que je me suis mise à préférer les promenades sous la pluie. J’ai même rencontré mon mari sous la pluie !
Je peux affirmer maintenant que j’ai retrouvé mon ami le soleil après la pluie !
Merci ! Merci !
Incognito
Allergie au noix
Lors d’un cours de Biologie Totale, l’animateur s’est trouvé à écrire « Avez-vous eu un enfant mort ? ». J’ai eu une forte réaction et j’ai dit « J’ai eu deux fausses couches », qui sont en réalité deux œufs clairs. L’animateur m’a dit que je n’avais pas fait le deuil de cela. Pendant les trois mois qui ont séparé le cours 1 et le cours 2, je me disais « Il faut que je sorte mes ressentis. » mais la peine, la désolation, la rage, etc. étaient présents, j’en étais consciente et je restais avec mon allergie.
Par la suite, lors du 3e cours, je revenais chez moi le vendredi soir et je me disais quand les animateurs vont parler des allergies, je vais leur demander comment sortir mes ressentis car ça ne fonctionnait pas pour moi. Et Bang ! J’allume ! et je me mets à pleurer le ressenti que j’ai gardé pendant dix ans : c’est qu’ils avaient tué mon enfant. Lors de ma première grossesse, j’ai saigné et le médecin m’a dit qu’il allait me passer une échographie rapidement car on ne savait pas la date exacte des dernières menstruations. Ils n’ont pas vu le cœur, ils ont dit qu’ils attendraient une semaine pour voir le cœur du fœtus, à défaut de le voir, ce serait un curetage. Ils n’ont pas vu le cœur et m’ont fait un curetage. Pour moi, j’ai toujours cru que, s’ils avaient attendu encore, ils auraient vu le cœur. Ils ont tué mon bébé.
Le dimanche, pendant le cours, j’avais apporté des noix de Grenoble (ce à quoi j’avais le plus réagi). J’ai fait un test sur le bras, j’ai eu une petite réaction. J’ai recommencé : pas de réaction. J’en ai mis sur mes lèvres et j’ai eu une petite réaction à la gorge. Les animateurs m’ont dit que c’était réglé. Un peu plus tard, j’ai mangé des noix pendant le cours et pour toujours ! Merci !
Mel
Apnée du sommeil - voir troubles respiratoires
TROUBLES RESPIRATOIRES
Asthme
J’ai développé de l’asthme en raison d’une allergie importante à la fumée de cigarette. Au départ, mon médecin me prescrit une pompe bleue. Quelques années plus tard, il a dû me prescrire trois (3) pompes différentes : une bleue (bronchodilatateur à action rapide), une orange (cortisone en aérosol) et une jaune pour la prévention lorsque je savais que j’allais être en présence de fumeurs. Mes allergies étaient rendues telles que seulement une couple de minutes à respirer de la fumée de cigarette pouvait nécessiter un détour aux urgences de l’hôpital !
Lors de mon premier cours de base en Biologie Totale avec Bertrand Lemieux, je lui ai demandé quel pourrait être le conflit lié à mes allergies à la fumée de cigarette. Sa réponse fut « C’est la séparation d’un être cher ! ». Je retourne à ma place et me demande de qui j’ai été séparée et je retrouve les deux évènements reliés à ce conflit.
L’évènement programmant est survenu lorsque j’avais 15 ans lorsque ma mère a fait une grave dépression suite à une visite au salon mortuaire. Mon frère entre la maison avec une cigarette et elle lui saute à la gorge. J’ai cru qu’elle le tuerait !
L’événement déclenchant survient à mes 30 ans (soit le double de 15 ans…donc un cycle biologique cellulaire mémorisé ou CBCM). Mon frère avait coupé les ponts avec la famille suite à des commentaires négatifs à propos de son épouse. Trois ans plus tard, j’ai choisi de reprendre avec suite au décès accidentel du beau-frère de ma sœur qui avait environ le même âge. Donc pour moi c’était ÉVIDENT que cette séparation avec mon frère, un gros fumeur, avait exacerbée mes allergies à la fumée de cigarette dues au conflit programmant vécu alors que j’avais 15 ans.
La prise de conscience de ces deux conflits inter-reliés et l’évidence de ces pistes furent une révélation pour moi. Elles ont produites spontanément des chaleurs et des frissons dans tout mon corps ainsi que des tremblements de mains pendant une trentaine de secondes.
En arrivant pour le cours le matin même, j’ai dû retenir mon souffle pour traverser plusieurs fumeurs rassemblés devant la porte d’entrée pour ne pas inspirer leurs fumées, sinon ! Maintenant que j’avais en conscience les événements programmant et déclenchant de ma « mal-a-dit », je savais que je n’étais plus allergique à la fumée de cigarette. À la fin du cours, j’ai pris une grande inspiration à la sortie où les fumeurs s’étaient rassemblés à nouveau…et rien ! J’ai fait de même à plusieurs reprises incluant dans des endroits où on pouvait couper la fumée au couteau ! Depuis 2002, je n’ai utilisé aucune « pompe » car je ne fais plus d’asthme. Mon médecin n’a jamais pu expliquer ce revirement complet.
J’ai beaucoup de gratitude pour la Biologie Totale car je sais que cela fonctionne.
Helios
Apnée du sommeil
Daniel 49 ans : Apnée du sommeil depuis 2 ans.
Utilisation quotidienne de l’appareil respiratoire, bouteille, pour la nuit .
Déclenchement : suite à une séparation douloureuse, sa femme lui dit: tu recherches ta mère dans toutes les femmes.
Programmant : à 12 ans, au retour de l’école il trouve sa mère asphyxiée dans l’auto en marche dans le garage.
J’avais suivi des cours de réanimation, mais je n’ai rien pu faire !
Deux semaines après la consultation, il avait la garde de ses enfants pour la fin de semaine et pour se sécuriser et ne pas nuire aux enfants, il a repris son appareil respiratoire qu’il avait laissé de coté depuis sa 1ère rencontre car sa prise de conscience avait été fantastique, mais n’est plus capable de supporter la vision cet appareil. Il avait la preuve de sa guérison. Il n’a pas eu de récidive depuis 4 ans.
ASTHMÉ
Asthme voir Troubles respiratoires
TROUBLES RESPIRATOIRES
Asthme
J’ai développé de l’asthme en raison d’une allergie importante à la fumée de cigarette. Au départ, mon médecin me prescrit une pompe bleue. Quelques années plus tard, il a dû me prescrire trois (3) pompes différentes : une bleue (bronchodilatateur à action rapide), une orange (cortisone en aérosol) et une jaune pour la prévention lorsque je savais que j’allais être en présence de fumeurs. Mes allergies étaient rendues telles que seulement une couple de minutes à respirer de la fumée de cigarette pouvait nécessiter un détour aux urgences de l’hôpital !
Lors de mon premier cours de base en Biologie Totale avec Bertrand Lemieux, je lui ai demandé quel pourrait être le conflit lié à mes allergies à la fumée de cigarette. Sa réponse fut « C’est la séparation d’un être cher ! ». Je retourne à ma place et me demande de qui j’ai été séparée et je retrouve les deux évènements reliés à ce conflit.
L’évènement programmant est survenu lorsque j’avais 15 ans lorsque ma mère a fait une grave dépression suite à une visite au salon mortuaire. Mon frère entre la maison avec une cigarette et elle lui saute à la gorge. J’ai cru qu’elle le tuerait !
L’événement déclenchant survient à mes 30 ans (soit le double de 15 ans…donc un cycle biologique cellulaire mémorisé ou CBCM). Mon frère avait coupé les ponts avec la famille suite à des commentaires négatifs à propos de son épouse. Trois ans plus tard, j’ai choisi de reprendre avec suite au décès accidentel du beau-frère de ma sœur qui avait environ le même âge. Donc pour moi c’était ÉVIDENT que cette séparation avec mon frère, un gros fumeur, avait exacerbée mes allergies à la fumée de cigarette dues au conflit programmant vécu alors que j’avais 15 ans.
La prise de conscience de ces deux conflits inter-reliés et l’évidence de ces pistes furent une révélation pour moi. Elles ont produites spontanément des chaleurs et des frissons dans tout mon corps ainsi que des tremblements de mains pendant une trentaine de secondes.
En arrivant pour le cours le matin même, j’ai dû retenir mon souffle pour traverser plusieurs fumeurs rassemblés devant la porte d’entrée pour ne pas inspirer leurs fumées, sinon ! Maintenant que j’avais en conscience les événements programmant et déclenchant de ma « mal-a-dit », je savais que je n’étais plus allergique à la fumée de cigarette. À la fin du cours, j’ai pris une grande inspiration à la sortie où les fumeurs s’étaient rassemblés à nouveau…et rien ! J’ai fait de même à plusieurs reprises incluant dans des endroits où on pouvait couper la fumée au couteau ! Depuis 2002, je n’ai utilisé aucune « pompe » car je ne fais plus d’asthme. Mon médecin n’a jamais pu expliquer ce revirement complet.
J’ai beaucoup de gratitude pour la Biologie Totale car je sais que cela fonctionne.
Helios
Apnée du sommeil
Daniel 49 ans : Apnée du sommeil depuis 2 ans.
Utilisation quotidienne de l’appareil respiratoire, bouteille, pour la nuit .
Déclenchement : suite à une séparation douloureuse, sa femme lui dit: tu recherches ta mère dans toutes les femmes.
Programmant : à 12 ans, au retour de l’école il trouve sa mère asphyxiée dans l’auto en marche dans le garage.
J’avais suivi des cours de réanimation, mais je n’ai rien pu faire !
Deux semaines après la consultation, il avait la garde de ses enfants pour la fin de semaine et pour se sécuriser et ne pas nuire aux enfants, il a repris son appareil respiratoire qu’il avait laissé de coté depuis sa 1ère rencontre car sa prise de conscience avait été fantastique, mais n’est plus capable de supporter la vision cet appareil. Il avait la preuve de sa guérison. Il n’a pas eu de récidive depuis 4 ans.
ASTHMÉ
Bouche (herpès buccal
BOUCHE
Herpès buccal
Au retour de l’école, mon petit-fils me téléphone car il est affligé d’une grosse peine : un volumineux herpès s’est pointé sur sa lèvre supérieure pendant la nuit précédente. Il en a été dérangé toute la journée par les questions du professeur, de ses camarades de classe, etc. Comme je le sens dans son émotion, je lui dis « Attends Mamie, je viens tout de suite ! ».
Dès mon arrivée, 3 minutes plus tard, il répète toutes ses contrariétés avec force et détails et se colle contre moi. Je le serre dans mes bras. Ses larmes coulent un moment puis simplement, je demande : « C’est quoi ces fameux bisous-là qui t’emmerdent tant ? » Et sans hésitation aucune, avec une petite pointe de colère, il répond : « C’est les bisous de maman. Quand elle vient me réveiller, elle me fait toujours une crise de bisous pis je n’aime pas ça moi ! ». Alors nous avons parlé de ses ressentis. Il s’est consolé et surtout rassuré car il tenait vraiment à comprendre que cette situation ne se répèterait plus et n’altèrerait en rien leurs sentiments communs, ni leur complicité relationnelle. Il est à noter que le fait que, ce jour-là, dès le retour de leur mère après son travail, il fut le premier à se raconter. Sa mère a bien reçu le propos de son fils et mon petit-fils n’a pas refait d’herpès depuis.
Aussi, lors de ma fin de semaine de formation, j’ai aussi trouvé l’explication des herpès de sa sœur aînée. Cette dernière adore le ski alpin alors que son frère est souvent en compétition pour le patinage de vitesse. Étant donné que tous les deux ont encore besoin de la présence de leurs parents dans la pratique de leurs sports respectifs, sa sœur aînée doit accepter le compromis plus souvent qu’à son tour car, pour son frère plus jeune, il s’agit de compétitions où il performe et gagne des médailles d’or. Alors, quand sa sœur a la chance de skier, sa joie se traduit en herpès labial (obligée d’accepter la situation de mon frère et d’insister pour obtenir ce que je veux).
Contact
Claustrophobie – voir Peurs
PEURS
Claustrophobie
Stéphane a 35 ans. Il souffre de claustrophobie dans un ascenseur, dans le métro, etc.
Claustrophobie dans ascenseur, métro, ne pouvait pas sortir de sa ville en voiture s’il n’utilisait pas un chemin connu, sinon il s’arrêtait sur la route en panique et retournait au point de départ.
Histoire : Début du problème suite à un blocage du métro entre deux stations, plus d’électricité Panique totale: Si je veux sortir, je ne pourrais pas ! À la naissance, l’accouchement avait duré 36 heures en douleurs. La mère à été endormie alors que l’enfant était bien engagé, mais bloqué. Ils ont eu peur de perdre la mère.
Lors de la prise de conscience, Stéphane se voyait bloqué, impossible de retourner, pas d’issue. Je ne vois pas la lumière au bout du tunnel !
Pour lui c’était la même chose que dans la panne du métro. Dès le lendemain, il ne ressentait plus aucun malaise.
Horreur du dessin
Quand j’étais à l’école primaire, et par la suite tout au long de ma vie, j’avais une sainte horreur de la période du vendredi après-midi car c’était jour de dessin. J’en avais mal au ventre et au cœur et je m’organisais toujours pour trainer sur le travail à faire pour le faire terminer par quelqu’un à la maison durant la fin de semaine.
Lorsque j’ai suivi le cours intitulé « Apprentissages scolaires et les problèmes qui y sont reliés », j’ai questionné sur le pourquoi de ce blocage au niveau du dessin. L’animateur m’a alors demandé si ma mère avait le droit de faire des projets et de les réaliser (desseins). Après réflexion, j’ai réalisé que non, car tout était subordonné à l’acceptation de mon père, malgré le fait qu’il passait toute la semaine à l’extérieur de la maison à cause de son travail. Il travaillait dans le bois, mais c’était bien lui, malgré la distance, qui tenait entre ses mains toutes les décisions concernant les projets de ma mère.
Suite à cette prise de conscience, qu’elle ne fut pas ma surprise de me voir à la bibliothèque municipale, 2 semaines plus tard, et d’avoir le goût de me réserver des livres sur le thème du dessin. Chose que j’ai faite d’ailleurs. Si on m’avait dit que je ferais cela un jour, j’aurais juré que jamais ça ne se produirait… et pourtant, aujourd’hui, en plus d’avoir pris intérêt à la chose, j’ai même suggéré, organisé et obtenu un cours intitulé « Dessin pour les nuls », cours auquel je suis présentement inscrite et que j’attends avec impatience tous les vendredis matins… Tiens ! Tiens ! Je n’avais pas remarqué jusqu’à cet instant la coïncidence du vendredi !!!
Merci pour cette prise de conscience qui m’enchante maintenant.
Gitane
Cœur (insuffisance, sténose aortique, valve mitrale)
COEUR
Sténose aortique et insuffisance valve mitrale
Jeune enfant, j’ai subi un rhumatisme articulaire aigu (RAA) suite à une infection bactérienne à streptocoques. Cela a eu un impact majeur sur les valves de mon cœur, tel que diagnostiqué quelques mois après cette fièvre rhumatismale.
Plus précisément, il s’agissait d’une sténose aortique ainsi que d’une insuffisance de la valve mitrale. Je suis né avec un Syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW) qui est une anomalie congénitale de la conduction électrique du cœur. Cela provoquait régulièrement des épisodes de tachyarythmie qui se résorbaient d’eux-mêmes, du moins jusqu’à l’approche de mes 40 ans alors que j’ai dû subir d’urgence une chirurgie invasive pour enrayer ces symptômes. Bref, les pronostics quant à mes maladies cardiaques étaient plutôt pessimistes depuis ma jeunesse alors que je subissais régulièrement leurs effets symptomatiques.
À l’âge adulte, je fus aussi diagnostiqué ayant des cordages excessifs à la valve mitrale ainsi qu’une cardiomégalie soit une hypertrophie du coeur (ou gros cœur) résultant des efforts supplémentaires exigés de la part du muscle cardiaque vu mes pathologies.
Le 27 mars 2008, j’avais rendez-vous avec mon cardiologue dont je suis le patient depuis plus de vingt ans pour connaître les résultats d’examens complets récents. Bouche bée et le visage hagard, il est totalement renversé en prenant connaissance des résultats pour la première fois. Il n’y a plus aucune pathologie cardiaque et mon cœur est complètement normal pour un homme de 56 ans. Tout à fait incroyable ! Tout comme pour mon cardiologue, les autres intervenants médicaux – incluant mon médecin de famille depuis plus de 30 ans – sont totalement ahuris en constatant les résultats qui vont à l’encontre de tout ce qu’ils ont appris depuis leur formation médicale.
Dans mon ouvrage « Mon cœur guéri et mon âme retrouvée », publié en 2009 et dont la version anglaise « My Heart Healed, My Soul Revealed » est disponible depuis 2011, je mentionne ma ferme conviction que les notions apprises et mes prises de conscience lors des séminaires en Biologie Totale avec monsieur Claude Sabbah et messieurs Bertrand Lemieux et Gérard Athias, constituent la pierre angulaire de mon puzzle me permettant de guérir de mes pathologies cardiaques au grand étonnement des instances médicales.
JJF
Déchirures - voir Musculature
MUSCULATURE
Déchirure des muscles
Daniel, 50 ans, a des douleurs chroniques depuis sa séparation. À cette rencontre, il a en plus un blocage des 2 épaules et n’est pas capable de lever plus haut que 60% sur les côtés sans avoir des douleurs importantes. Le diagnostic de son médecin est une déchirure des muscles qui, selon lui, ne se répare pas.
Daniel a une entente de garde des enfants avec son ex-femme. Celle-ci l’a rompue. Il a peur que ses enfants ne soient pas élevés comme il le souhaite et surtout qu’ils deviennent comme elle.
À sa prise de conscience de la difficulté de protéger ses enfants, instantanément il a pu utiliser ses bras complètement et il n’y a pas eu de récidive.
Dépression (tristesse du temps des fêtes)
DÉPRESSION
• Tristesse du Temps des Fêtes
Au début de décembre, j’ai un grand plaisir à décorer et préparer Noël, mais les jours précédant Noël, une tristesse s’emparait de moi sans que je puisse comprendre pourquoi.
Je me suis informée à certains de mes frères et sœurs et ils vivaient le même malaise. En me rendant chez un de mes frères, je discute avec mon mari et je lui dis que j’aimerais bien comprendre cette situation afin de ne plus la vivre.
Plus tard, durant le trajet, je réalise que ma mère a perdu un fils le 17 décembre et qu’il a été enterré le 21 décembre. Je comprends soudain que, tous les enfants, suite à cet événement, portent la douleur de maman à cette époque de l’année.
J’ai pris conscience de tout cela, j’ai remercié ma mère et c’en est fini de cette situation.
Princesse
Diabète (Type 2)
DIABÈTE
Diabète Type 2
Lorsque que j’ai été diagnostiquée avec le diabète, j’avais environ 48 ans. J’ai compris pourquoi j’avais cette maladie. Je résistais à faire ce que je voulais vraiment et je m’imposais des corvées, des attitudes et je résistais à faire entrevoir mes émotions pour garder l’image de la femme forte devant les événements agressants de ma vie. Je suis en ce moment sur la voie de la guérison car je laisse les émotions monter lorsqu’elles se présentent. Je m’arrête et je me pose la question suivante : « À quoi est-ce que je résiste, ou à qui est-ce que je résiste ? » Je solutionne tranquillement mes ressentis du moment. Je prends conscience enfin de mes émotions et je les écoute. Les derniers tests pour vérifier mon niveau de sucre sanguin indiquaient que j’avais atteint la moyenne normale.
Acajou
Eczéma voir Peau
PEAU
Eczéma
Je souffrais d’eczéma aux mains depuis 12 ans. Le tout a commencé par la main droite pour ensuite, 5 ans plus tard, s’étendre à ma main gauche. Je ressentais toujours le besoin de me gratter et je devais parfois m’ébouillanter les mains pour me soulager.
Quand j’ai rencontré l’animateur en Biologie Totale, il m’a fait comprendre que ce problème appartenait à un conflit qui n’était pas réglé en moi. Il y a 12 ans, mes parents se sont séparés. Il m’explique alors que je devais régler ce conflit avec un de mes deux parents (mon père). Je savais en moi que je devais parler à mon père et lui exprimer à quel point je l’aime, ainsi que sa compagne, et lui avouer qu’il me manque énormément. Mon père m’a téléphoné pour que j’aille le voir et je lui ai tout exprimé. Je n’ai plus de trace d’eczéma et de gerçures aux mains depuis. Merci à mon animateur en Biologie Totale !
L’Aigle
Taches sur la peau
À 23 ans, alors que cela faisait un an et demi que je sortais avec ma blonde, elle me téléphone un soir et m’explique rapidement que notre relation est terminée : BANG ! Je ne comprends pas et je suis sous le choc. J’ai l’impression de m’être fait « tromper » !!!
Dans les jours qui suivent, il m’apparaît des taches rougeâtres sous les aisselles. Ça ne chauffe pas, ne pique pas, mais c’est là. Les taches grossissent et descendent jusqu’au-dessus des hanches. Cela dure 4 mois. Ma tante m’explique que je dois trouver mon « ressenti », trouver le « mot-clé ». Alors, le soir je me couche et je me dis « Bon, j’ai des … », le mot que je voulais dire c’était « taches » mais le mot qui m’est venu c’est « plaques ». Je prends alors conscience que je me suis fait « plaqué » !!!
Le lendemain, les plaques rouges commencent à se résorber, puis elles ont disparues en 2 jours.
Le Pharmacien
Fibromyalgie
FIBROMYALGIE
J’ai reçu un diagnostic de fibromyalgie (douleur chronique sur tout le corps) en 2003 à l’âge de 30 ans. Au moment où mes symptômes sont apparus, j’avais 26 ans. C’était environ un an après mon mariage, et je travaillais comme gérante de sécurité. J’ai réussi à m’accommoder des symptômes et à continuer à travailler pendant longtemps, déterminée à continuer à travailler, au point où j’ai sacrifié ma vie personnelle et presque mon mariage.
Il est à noter que la fibromyalgie a été reconnue par l’Association de Rhumatologie Américaine depuis 1990, avec aucune cause identifiée, ni aucun traitement disponible.
En 2001, mon médecin de famille me prescrit un arrêt de travail pour une durée indéterminée. A cette date, nous ne comprenions toujours pas mes symptômes variés. J’ai suivi chacune des recommandations de mes médecins, que ce soit des tests médicaux et des examens, ou des formes de traitement. Non seulement il n’y avait aucune amélioration à ma santé, mais ma qualité de vie diminuait à un point tel qu’on me reconnut le statut d’invalidité longue durée, une façon polie de nommer un handicap, et qu’on me permit d’utiliser un chien accompagnateur. Entre 2001 et 2003, on me diagnostiqua aussi de fatigue chronique, d’un syndrome de douleur myofasciale, syndrome de Bowel et dépression. La seule recommandation que me fit le rhumatologue qui avait posé le diagnostic de fibromyalgie sévère fut de vendre ma maison à la campagne, et de me préparer à vivre en fauteuil roulant dans les 3 à 6 mois, puisqu’il n’y avait aucun traitement connu pour cette maladie. C’est ce que nous fîmes, mon mari et moi, et ce fut un réel sacrifice. Nous avons déménagé dans un condo en ville, mais avec l’intention que c’était le meilleur moyen pour m’aider à améliorer mon état de santé.
En 2004, j’ai commencé à consulter quelqu’un en Biologie Totale, qui m’avait été référé par une personne de confiance qui me savait déterminée à essayer tous les traitements possibles et toute forme de thérapie en parallèle pour améliorer mon état.
Je me sentais désespérée et totalement impuissante. J’étais prête à faire n’importe quoi pour retrouver la santé, j’étais ouverte à toute forme de thérapie dans la mesure où je verrais le moindre résultat.
Dans mon cas, les résultats sont arrivés très vite. La personne avec laquelle j’ai travaillé était très claire et cohérente dans ses explications de la Biologie Totale. Elle m’expliqua que c’était un concept développé par Claude Sabbah, à la suite des travaux de Ryke Geerd Hamer. Elle ne me cacha pas que le Dr Hamer avait perdu son droit à l’exercice de la médecine et qu’il avait été emprisonné. J’ai pourtant choisi de continuer dans cette voie. Même si je doutais que la Biologie Totale pourrait m’aider, après que tant d’approches avaient échoué, je ne renonçais pas cependant à la guérison.
Ces séances consistaient principalement en un accompagnement. On m’y donnait des explications sur le sens de la maladie, et j’étais libre de faire mes propres conclusions. A chaque étape de ce voyage dans la compréhension des liens fondamentaux entre mon corps et mon état émotionnel et mental, et au fur et à mesure des explications qui m’amenaient à comprendre pourquoi j’en étais arrivée là dans ma vie, je connus une période de douleur accrue, mais après le repos (je dormais d’un sommeil profond, ce que je n’avais plus connu depuis les débuts de la maladie), je réalisais que mon corps était de plus en plus fonctionnel. Mon corps guérissait plus rapidement que je ne pouvais émotionnellement ou mentalement comprendre. Cela me prit presque plus de temps à retrouver la confiance que mon corps allait vraiment mieux. Heureusement, j’ai la chance d’avoir eu un mari très patient et aimant. En 2005, j’eus le bonheur de reprendre un travail. En 2006, nous avons construit ensemble une nouvelle maison, encore plus belle que notre ancienne maison, de nos propres mains.
Cela fait maintenant plus de 4 ans (depuis 2004) que je ne souffre plus de fibromyalgie ni d’aucun des symptômes précédemment énoncés, et cela a été confirmé par mes médecins.
Sans toute cette connaissance que j’ai acquise au travers des concepts et notions de la Biologie Totale, je ne pense pas que je serais encore en vie aujourd’hui. Je suis éternellement reconnaissante pour tous les enseignements que Claude Sabbah partage avec les gens, et aussi pour ceux qui ont repris le flambeau pour transmettre ce concept dans son intégrité. La connaissance est puissante, et elle peut être utilisée pour le meilleur ou pour le pire.
Peach
6 octobre 2008
Grossesse (interdiction d’accoucher d’un garçon)
GROSSESSE
Grossesse
Lundi dernier, c’est-à-dire le 3 juin, je t’ai appelé et t’ai laissé un message parce que ma belle-fille qui est enceinte de jumelles avait reçu un diagnostic comme quoi, une de ses petites, celle située le plus haut avait une anomalie avec son cordon ombilical. Le diagnostic est que le flot sanguin est absent en fin de diastole. Elle a alors 21 semaines et 3 jours. Celle qui a cette anomalie est trop petite et l’autre se trouve à être un peu plus grosse que supposée. Elle s’est fait dire qu’il allait attendre jusqu’à ce qu’elle soit à 24 semaines et que si, par la suite l’anomalie était toujours là, il faudrait songer à l’accoucher et espérer pouvoir sauver les deux petites. Car celle avec l’anomalie pourrait mourir si le problème avec le cordon empirait et de ce fait entraîner l’autre donc possibilité de perdre les deux. J’ai réussi à te parler le mardi donc le 4 juin. Le même soir ma belle-fille et mon fils sont venus souper à la maison et j’ai discuté avec ma belle-fille. Nous avons abordé comment elle se sentait fasse à sœur, quand elle était petite. Elle m’a alors conté des choses qui s’était passé et je lui ai fait voir que dans le fond dans son ventre c’est le même conflit qui se reproduit. Elle a vraiment compris. Je lui ai dit de parler avec ses bébés et de leur dire que cela ne leur appartenait pas, qu’elles avaient le droit à la vie toutes les deux. Étant donné qu’elle a eu l’expérience de savoir comment cela fonctionne en Biologie Totale à cause de son diagnostic d’endométriose où elle devait se faire opérer et que finalement quand elle est retournée voir la gynécologue, il n’y avait plus rien. Elle m’a dit oui je vais leur parler, je lui ai dit de laisser remonter ses émotions, ses ressentis et de dire à ses filles que cela ne leur appartenait pas. J’ai aussi parler avec mon fils et tu m’avais aussi dit de voir les morts de bébés en bas âge et nous avons discuté de ce qui était arrivé à une de mes tantes, à mon père et je leur ai dit que cela ne leur appartenait pas, qu’eux avaient le droit d’avoir des enfants en santé et surtout vivant.
Le vendredi, c’est-à-dire le 7 juin, donc 3 jours après avoir parlé avec eux, ma belle-fille allait passer une échographie cardiaque des fœtus pour s’assurer que les cœurs des bébés n’avaient pas de malformation congénitale ou causé par l’anomalie. Lors de l’échographie, il s’est avéré que les cœurs sont tout à fait normaux et, de plus, l’anomalie pour le flot sanguin n’est plus là, tout est normal. Le médecin lui a dit qu’il ne comprenait pas ce qui s’était passé pourquoi tout est normal, la seule chose qui prouve qu’elle avait belle et bien une anomalie c’est que la petite est encore trop petite. Donc tout c’est normalisé en moins de 68 heures. C’est vraiment super.
Je lui ai parlé aujourd’hui et elle m’a dit que le bedon grossit à vue d’œil. Merci pour ta disponibilité, je te suis extrêmement reconnaissante pour tout ce que tu as fait pour moi depuis que je te connais, je remercie la vie de m’avoir fait connaitre la Biologie Totale.
De plus si tu as un fax, je pourrais te faire parvenir le rapport de la première écho avec l’anomalie et ma belle-fille aujourd’hui a demandé une copie du deuxième rapport où finalement tout est normal, donc tu auras les preuves à l’appui, si tu n’as pas de fax je te les apporterai lors de notre prochaine rencontre ou si je réussi à les scanner je te les ferai parvenir plus rapidement, elle a le deuxième rapport entre les mains et je devrais la voir dimanche. Dans le pire des cas tu les auras à l’automne.
Je t’embrasse et au plaisir de te revoir très bientôt.
Belle-mère heureuse
Interdiction d’accoucher d’un garçon
Je suis la cadette d’une famille de 15 enfants vivants, plus 2 fausses couches. J’ai vite compris que ma mère ne m’a pas désirée. J’ai réalisé que si ma mère avait pu m’éliminer, elle l’aurait fait. En français, j’ai de la difficulté avec mes B et mes F. L’animateur de mes cours en Biologie Totale m’a dit qu’en plus, il était probable que ce soit un garçon qu’elle voulait.
Alors je me suis dit « Comment appliquer tout cela dans ma vie ? » Je prends conscience que j’ai mis au monde une première fille, ensuite j’ai eu une fausse couche et puis, une deuxième et une troisième fille. J’avais intégré que si un garçon était venu au monde à ma place, je ne serais pas là. Alors mon deuxième enfant (qui avait le même rang que moi, soit no 2) ne pouvait pas venir au monde car j’avais un programme de non vie, en plus de ne pas être désirée. Suite à cette prise de conscience, j’ai raconté à mes 3 filles l’histoire et leur ai dit qu’elles pouvaient mettre au monde des garçons en santé. J’ai présentement 1 petite-fille et 2 petits-garçons et le troisième petit-fils est présentement à 6 mois dans la grossesse de sa mère.
Hirondelle
Herpès buccal voir Bouche
BOUCHE
Herpès buccal
Au retour de l’école, mon petit-fils me téléphone car il est affligé d’une grosse peine : un volumineux herpès s’est pointé sur sa lèvre supérieure pendant la nuit précédente. Il en a été dérangé toute la journée par les questions du professeur, de ses camarades de classe, etc. Comme je le sens dans son émotion, je lui dis « Attends Mamie, je viens tout de suite ! ».
Dès mon arrivée, 3 minutes plus tard, il répète toutes ses contrariétés avec force et détails et se colle contre moi. Je le serre dans mes bras. Ses larmes coulent un moment puis simplement, je demande : « C’est quoi ces fameux bisous-là qui t’emmerdent tant ? » Et sans hésitation aucune, avec une petite pointe de colère, il répond : « C’est les bisous de maman. Quand elle vient me réveiller, elle me fait toujours une crise de bisous pis je n’aime pas ça moi ! ». Alors nous avons parlé de ses ressentis. Il s’est consolé et surtout rassuré car il tenait vraiment à comprendre que cette situation ne se répèterait plus et n’altèrerait en rien leurs sentiments communs, ni leur complicité relationnelle. Il est à noter que le fait que, ce jour-là, dès le retour de leur mère après son travail, il fut le premier à se raconter. Sa mère a bien reçu le propos de son fils et mon petit-fils n’a pas refait d’herpès depuis.
Aussi, lors de ma fin de semaine de formation, j’ai aussi trouvé l’explication des herpès de sa sœur aînée. Cette dernière adore le ski alpin alors que son frère est souvent en compétition pour le patinage de vitesse. Étant donné que tous les deux ont encore besoin de la présence de leurs parents dans la pratique de leurs sports respectifs, sa sœur aînée doit accepter le compromis plus souvent qu’à son tour car, pour son frère plus jeune, il s’agit de compétitions où il performe et gagne des médailles d’or. Alors, quand sa sœur a la chance de skier, sa joie se traduit en herpès labial (obligée d’accepter la situation de mon frère et d’insister pour obtenir ce que je veux).
Contact
Hypothyroïdie voir Thyroïde
THYROÏDE
Hypothyroïdie
En 2003 je suis anormalement fatiguée et je vais consulter pour savoir pourquoi. J’avais différents symptômes qui me dérangeaient. Le résultat : hypothyroïdie. Étant donné que trois de mes sœurs étaient passées par là, je ne voulais pas qu’on brûle ma thyroïde par radiations et prendre des médicaments à vie. Je me suis donné une chance de faire autrement avant le grand pas en optant plutôt pour la médecine alternative et je suis allée voir un naturopathe. J’ai changé plusieurs aspects de ma vie et cela fonctionna pendant plus de 2 ans.
En 2005, les symptômes réapparaissent progressivement. Les traitements et toute l’aide que je me donnais pour contrer l’hypothyroïdie ne donnaient plus de résultats concluants. J’avais déjà débuté ma formation en Biologie Totale avec Monsieur Claude Sabbah. À cette époque, je suis allée suivre un stage technique en France et une démonstration en « live » avec Monsieur Sabbah lequel me permit de comprendre l’origine de cette maladie dans mon histoire, d’en prendre conscience et de libérer le stress s’y rattachant.
Depuis ce temps, je n’ai plus de symptômes de l’hypothyroïdie et j’ai des tests sanguins prouvant cet état.
Grandement merci à la Biologie Totale et à Monsieur Claude Sabbah.
Hélène
Insuffisance (valve mitrale - voir Coeur)
COEUR
Sténose aortique et insuffisance valve mitrale
Jeune enfant, j’ai subi un rhumatisme articulaire aigu (RAA) suite à une infection bactérienne à streptocoques. Cela a eu un impact majeur sur les valves de mon cœur, tel que diagnostiqué quelques mois après cette fièvre rhumatismale.
Plus précisément, il s’agissait d’une sténose aortique ainsi que d’une insuffisance de la valve mitrale. Je suis né avec un Syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW) qui est une anomalie congénitale de la conduction électrique du cœur. Cela provoquait régulièrement des épisodes de tachyarythmie qui se résorbaient d’eux-mêmes, du moins jusqu’à l’approche de mes 40 ans alors que j’ai dû subir d’urgence une chirurgie invasive pour enrayer ces symptômes. Bref, les pronostics quant à mes maladies cardiaques étaient plutôt pessimistes depuis ma jeunesse alors que je subissais régulièrement leurs effets symptomatiques.
À l’âge adulte, je fus aussi diagnostiqué ayant des cordages excessifs à la valve mitrale ainsi qu’une cardiomégalie soit une hypertrophie du coeur (ou gros cœur) résultant des efforts supplémentaires exigés de la part du muscle cardiaque vu mes pathologies.
Le 27 mars 2008, j’avais rendez-vous avec mon cardiologue dont je suis le patient depuis plus de vingt ans pour connaître les résultats d’examens complets récents. Bouche bée et le visage hagard, il est totalement renversé en prenant connaissance des résultats pour la première fois. Il n’y a plus aucune pathologie cardiaque et mon cœur est complètement normal pour un homme de 56 ans. Tout à fait incroyable ! Tout comme pour mon cardiologue, les autres intervenants médicaux – incluant mon médecin de famille depuis plus de 30 ans – sont totalement ahuris en constatant les résultats qui vont à l’encontre de tout ce qu’ils ont appris depuis leur formation médicale.
Dans mon ouvrage « Mon cœur guéri et mon âme retrouvée », publié en 2009 et dont la version anglaise « My Heart Healed, My Soul Revealed » est disponible depuis 2011, je mentionne ma ferme conviction que les notions apprises et mes prises de conscience lors des séminaires en Biologie Totale avec monsieur Claude Sabbah et messieurs Bertrand Lemieux et Gérard Athias, constituent la pierre angulaire de mon puzzle me permettant de guérir de mes pathologies cardiaques au grand étonnement des instances médicales.
JJF
Jambes (raideur d’une jambe)
JAMBE
Raideur d’une jambe
Absolument génial ! Y’a pas de mots ! En une journée de cours et une nuit, c’est un changement assez spectaculaire !
J’avais la jambe gauche raide, difficile à bouger et je me suis levée légère avec le pied gauche vers l’extérieur. J’ai passé une nuit à avoir chaud, à sentir mes pieds en feu, des courants chauds, froids, comme si l’énergie était radioactive et passait partout en moi. Les hanches, les épaules, la nuque, la tête, partout, partout, jusqu’aux joues ! J’ai tourné, tourné dans mon lit jusqu’à finalement m’arrêter sur le ventre et sentir mon corps, comme une pelure d’oignon mais beaucoup plus lourde se détacher de mon corps. Peu importe les 3 heures du matin, j’aurais dansé quand même !!! Mêmes mes épaules se sont allégées. C’est merveilleux !
Lam
Mains (tics, étirement)
MAINS
Tics nerveux
À l’âge de 7 ans, suite à notre déménagement, mon fils à développé un tic nerveux qu’il pouvait faire au moins 100 fois par jour : fermer et ouvrir ses mains en les tournant. C’était impossible de l’arrêter, même en faisant ses devoirs scolaires.
J’ai reconnu que, au 7e mois de grossesse, j’ai perdu ma grand-mère. J’aurais voulu la retenir… Il exprimait donc mon problème, dans son physique. En faisant une déprogrammation, en lui expliquant les faits, dans les 2 semaines qui suivirent, son tic nerveux était complètement disparu !
Lily
Pouce en gâchette (Trigger finger)
J’ai eu un étirement du pouce qui a dégénéré en « pouce en gâchette ». Pour éviter la douleur et tout mouvement de gâchette, le pouce est immobilisé avec une attelle. Après plusieurs mois de tentative de réparation en physiothérapie, sans succès, j’étais en attente pour une chirurgie car c’était le dernier recours pour ramener le pouce (mouvement) à l’état normal et supprimer la douleur.
Un an plus tard, en suivant mes cours de Biologie Totale : réparation et guérison du pouce à 95 %, mon muscle était déjà endommagé par trop de laser et de physiothérapie. Je n’avais plus aucune douleur, ni aucune inflammation. La chirurgie a donc été annulée.
Ti-Croteux
Mutilation des cuticules
Depuis 5 ans je me suis intéressée à diverses sources de médecines douces pour régler les divers petits problèmes qui m’affectaient et aider aussi ma famille. J’ai découvert la Biologie Totale au début de l’année 2007. J’ai consulté 3 fois un Conseiller de la région de Québec et j’ai aussi assisté à 2 séminaires de 3 heures donné par lui et son assistante. Je suis tout à fait d’accord avec le principe que la maladie est une solution pour le cerveau à diverses pensées ou émotions.
Durant une pause lors d’un séminaire en 2007, j’ai posé cette question au Conseiller « Pourquoi depuis l’enfance j’étais incapable d’arrêter de me mutiler les cuticules des doigts? » Depuis mes 6-7 ans, j’ai toujours eu les doigts rouges, enflés et souvent saignants de par ce comportement néfaste de ma part. Avec des doigts libres, j’arrachais la peau des cuticules et allait plus loin presque aux jointures parfois. Les médecins me prescrivaient des crèmes à la cortisone pour soigner mais évidemment mon comportement faisait que le problème recommençait toujours. Mais durant cette pause ce soir-là, suite à ma question, le Conseiller me dit une seule phrase. Je l’ai regardé les yeux ronds sans la comprendre car cela n’avait aucun sens pour moi. La pause se termina et le cours se poursuivi. Puis, par la suite, je retournai chez moi sans trop repenser à cette phrase. Mais dès le lendemain et depuis ce temps, soit 1 an et demi, je n’ai jamais recommencé. De mes 7 ans jusqu’à mes 34 ans en mai 2007, j’ai eu ce problème et en une seule soirée cela a disparu avec une seule phrase en plus.
J.S.
Musculature (déchirure)
MUSCULATURE
Déchirure des muscles
Daniel, 50 ans, a des douleurs chroniques depuis sa séparation. À cette rencontre, il a en plus un blocage des 2 épaules et n’est pas capable de lever plus haut que 60% sur les côtés sans avoir des douleurs importantes. Le diagnostic de son médecin est une déchirure des muscles qui, selon lui, ne se répare pas.
Daniel a une entente de garde des enfants avec son ex-femme. Celle-ci l’a rompue. Il a peur que ses enfants ne soient pas élevés comme il le souhaite et surtout qu’ils deviennent comme elle.
À sa prise de conscience de la difficulté de protéger ses enfants, instantanément il a pu utiliser ses bras complètement et il n’y a pas eu de récidive.
Myasthénie – voir Yeux
YEUX
Uvéite rhumatismale (œil droit)
Il s’agit d’une maladie auto-immune de type rhumatismal. Jeune enfant, j’ai subi un rhumatisme articulaire aigu (RAA) suite à une infection bactérienne à streptocoques. Cela a eu un impact majeur sur les valves de mon cœur tel que diagnostiqué quelques mois après cette fièvre rhumatismale. Quant à mon uvéite à l’œil droit, elle fut diagnostiquée en 2004 au CHUM alors que je subissais une douleur oculaire intense avec photophobie. Au cours des deux années suivantes, j’ai dû me présenter périodiquement d’urgence au département d’ophtalmologie à tous les 2 ou 3 mois. On me prescrivait alors des corticoïdes ainsi que des gouttes ophtalmologiques pour dilater la pupille.
Lors d’un séminaire en Biologie Totale en 2008, j’ai fait une prise de conscience remarquable quant à la piste probable de cette maladie. L’événement date de 1986. Je circulais en voiture un jour de semaine et j’ai vu mon père qui déambulait sur le trottoir avec une dame qui m’était inconnue. Visitant ma mère plus tard cette même journée, je lui ai dit que j’avais vu papa. Elle était très surprise car mon père avait quitté pour son travail comme d’habitude tôt le matin. Le soir même, elle mentionna à mon père que je l’avais vu à plusieurs kilomètres de son travail. Il avoua qu’il fréquentait sa cousine (sa maîtresse) et ce, malgré sa promesse faite à son épouse de ne plus la revoir. Mon père est décédé subitement d’un infarctus l’année suivante.
Mais pourquoi cette maladie particulière ne s’est-elle pas déclarée avant 2004 ? C’est que cette année, lors d’une réunion familiale, mon frère et ma sœur m’ont avoué que mon père était très furieux que j’aie mentionné à ma mère que je l’avais VU et qu’il voulait me confronter à ce propos mais ma mère le lui interdisait. Ma prise de conscience concerne le fait que si ma vision avait été déficiente, il est possible que je n’aurais pas reconnu mon père déambulant avec sa maîtresse à cette distance. Mais il y a aussi une subtilité additionnelle car depuis que j’ai appris que mon père était en grande colère contre moi, je me demandais régulièrement si son infarctus massif et fatal serait survenu quand même si je ne l’avais pas aperçu ou si je n’avais pas mentionné cette histoire à ma mère.
Suite à cette prise de conscience, j’ai lâché prise en pardonnant à mon père mais surtout en me pardonnant. Comme résultat, je n’ai pas connu d’autres épisodes d’inflammation oculaire importante depuis 2008.
Hibou
Myasthénie gravis
La manifestation de la maladie a débuté en octobre 2002 par un trouble de la vision, soit diplopie importante (vision double). J’ai rencontré plusieurs optométristes, ophtalmologues, neuro-ophtalmologues, mais personne n’arrivait à poser un diagnostic, ni à comprendre mon problème. En janvier 2003, on m’a injecté du Tensilon et de la cortisone sans aucun succès. Par la suite, j’ai développé un ptôse (paupière tombante) de l’œil gauche alors que mon œil s’ouvrait à peine. J’ai aussi développé un nystagmus (mouvements involontaires de l’œil dans le sens horizontal), surtout de l’œil gauche.
Bref, ce problème était assez handicapant car je pouvais à peine lire, j’ai dû arrêter de conduire ma voiture, je suis tombée quelques fois car je perdais la profondeur en ne regardant qu’avec un seul œil, etc. De plus, je n’avais toujours pas de diagnostic, ni de traitement. Parallèlement à tout cela, j’ai fait comme on dit « le parcours du combattant » et j’ai essayé toutes sortes de méthodes des plus farfelues au plus crédibles.
Ce n’est qu’en juillet 2003, alors que j’avais été référée à l’Institut Neurologique de Montréal, où j’ai passé des tests révélant que je souffrais de « myasthénie gravis ». On m’a alors informée que c’était une maladie neuromusculaire chronique auto-immune. Une maladie « incurable » qui, normalement, se développe, s’aggrave avec parfois des phases de rémission. La faiblesse des muscles est due aux anticorps circulants qui bloquent les récepteurs de l’acétylcholine à la jonction neuromusculaire post-synaptique, inhibant ainsi l’effet stimulant sur le neurotransmetteur, soit l’acétylcholine.
Bref, cette maladie s’attaquait à mes yeux, mais éventuellement, pouvait s’attaquer aux jambes, etc. à n’importe quel muscle de mon corps. Elle pouvait aussi se manifester au niveau des poumons provoquant ainsi un arrêt respiratoire. On m’a prescrit du Mestinon mais sans succès.
Étant résolue et profondément convaincue que j’allais me guérir, j’ai continué mes recherches pour finalement rencontrer M. Bertrand Lemieux avec qui je n’ai eu qu’une rencontre en personne en mai 2003 et environ deux autres par téléphone et courriel. J’ai fait religieusement tous les « devoirs » suggérés et c’est de cette façon en comprenant mon projet-sens d’ambivalence/dualité que j’ai déprogrammé la maladie. Je me suis donc guérie, en très grande partie, avec l’aide de M. Lemieux et suis retournée au travail en décembre 2004 (absence de 2 ans). J’ai suivi des formations en Biologie Totale avec M. Lemieux et par la suite avec M. Claude Sabbah. C’est en prenant le cours de base avec ce dernier que j’ai fini de guérir le peu de symptômes qui restaient. Je n’ai jamais eu de « rechute » de la maladie depuis maintenant plus de 7 ans.
Avec le recul et après avoir suivi plusieurs formations avec M. Lemieux et M. Sabbah, je suis en mesure d’affirmer que lorsque bien appliqués, les principes de la Biologie Totale sont vraiment efficaces et nous amènent à la prise de conscience de notre maladie pour être en mesure de « déprogrammer » ce qui s’était mis en place au début de la maladie. N’oublions pas que ce que l’on nomme « maladie » n’est que le mal qui nous dit que quelque chose ne tourne pas rond, c’est un programme qui assure notre survie en attendant que l’on se réveille et qu’on réalise que nous n’avons plus besoin de cette maladie, de ce symptôme, de cette allergie, etc.
Merci à Messieurs Sabbah et Lemieux, merci à la Biologie Totale et merci à moi-même d’avoir fait ma guérison ! (Il faut, avant tout, être soi-même déterminé à guérir !)
J’essaie maintenant, à mon tour, d’aider le plus de gens possible à comprendre le sens de leurs malaises ou maladies.
Michèle Turcot
11 juillet 2011
Myopie
Je suis myope depuis mes 14 ans. Cela empira jusqu’à mes 20 ans et cela s’est stabilisé pendant 12 ans. Pendant ces 12 ans, mon œil gauche avait une vision de -1,75 et mon œil droit -2,25. Puis à 32 ans une légère amélioration de -0,25 dans chaque œil, à 34 ans la même amélioration ou à peu près. J’estime qu’avant la rencontre avec le Conseiller, mon œil gauche était de -1,25 à -0,75. Mon examen était en effet prévu vers cette période mais je l’ai retardé (avoir su la méga controverse de la Biologie Totale j’y serais allé avant puis après le rendez-vous). Donc je vais au rendez-vous d’une heure et le lendemain, je n’ai plus eu besoin de verre de contact pour l’œil gauche. Un mois après je suis allé à mon rendez-vous chez l’optométriste qui indiqua que la vue de mon œil gauche était absolument parfaite. Celle de mon œil droit est maintenant de -0,75. Je pense qu’il y a un double conflit non réglé mais j’ai décidé d’attendre pour le régler. La Biologie Totale m’a aidé à terminer un travail amorcé inconsciemment pour mon oeil gauche. Il ne restait pas beaucoup de travail à faire mais j’ai beaucoup apprécié de comprendre le phénomène.
Le concept de la Biologie Totale m’a aussi expliqué des maladies passées comme d’énormes crises de sinusites que j’ai réglées avant de les comprendre. Cela m’aide aussi avec de petits malaises quotidiens et ceux de ma famille. J’ai des livres de référence que je consulte selon le problème et cela règle bien souvent avant que cela empire. Dans mon sens il faut accepter les traitements médicaux qui soulagent le mal et nous permet de libérer l’esprit. Moi quand je souffre je ne pense pas!!! Quand j’ai le rhume je prends du Tylénol et du NyQuil mais j’essaie aussi de trouver et relativiser sans juger le satané conflit relationnel que j’ai eu avant pour éviter que ça ne revienne.
J.S.
Perte de la vision
Charlène a 6 ans en août 2009. Elle a une perte de vision totale de son œil gauche et 40% de son œil droit.
Son père est militaire de carrière. En 2008, il part avec la petite famille au Gabon pour deux ans. Parents, oncles et tantes promettent d’aller les visiter aux vacances 2009. Cela se réalise et trois jours après leur départ pour retourner chez eux, la vision de Charlène s’est mise à se détériorer. Sa mère et ma sœur, la grand-mère, me donnent les informations par téléphone et courriel et nous avons demandé à la petite ce qu’elle avait vécu à cette occasion. Sa réponse fut « Peur de ne plus revoir la famille ! »
Elle est revenue en France pour suivre des traitements. Pendant ce temps, elle habita chez sa grand-mère qui a pu échanger avec elle et lui expliquer pourquoi, suite à cette peur trop forte, son cerveau avait décidé de fermer sa vision. C’était pour éviter qu’elle souffre et surtout la rassurer que ce n’était que temporaire vu qu’elle reviendrait à l’été 2010 et qu’elle serait à nouveau avec la famille. Dans les trois semaines suivantes, son œil droit récupéra à 100% et il y avait une grande amélioration de son oeil gauche. Aujourd’hui, tout est revenu à la normale à 100 %.
Myopie voir Yeux
YEUX
Uvéite rhumatismale (œil droit)
Il s’agit d’une maladie auto-immune de type rhumatismal. Jeune enfant, j’ai subi un rhumatisme articulaire aigu (RAA) suite à une infection bactérienne à streptocoques. Cela a eu un impact majeur sur les valves de mon cœur tel que diagnostiqué quelques mois après cette fièvre rhumatismale. Quant à mon uvéite à l’œil droit, elle fut diagnostiquée en 2004 au CHUM alors que je subissais une douleur oculaire intense avec photophobie. Au cours des deux années suivantes, j’ai dû me présenter périodiquement d’urgence au département d’ophtalmologie à tous les 2 ou 3 mois. On me prescrivait alors des corticoïdes ainsi que des gouttes ophtalmologiques pour dilater la pupille.
Lors d’un séminaire en Biologie Totale en 2008, j’ai fait une prise de conscience remarquable quant à la piste probable de cette maladie. L’événement date de 1986. Je circulais en voiture un jour de semaine et j’ai vu mon père qui déambulait sur le trottoir avec une dame qui m’était inconnue. Visitant ma mère plus tard cette même journée, je lui ai dit que j’avais vu papa. Elle était très surprise car mon père avait quitté pour son travail comme d’habitude tôt le matin. Le soir même, elle mentionna à mon père que je l’avais vu à plusieurs kilomètres de son travail. Il avoua qu’il fréquentait sa cousine (sa maîtresse) et ce, malgré sa promesse faite à son épouse de ne plus la revoir. Mon père est décédé subitement d’un infarctus l’année suivante.
Mais pourquoi cette maladie particulière ne s’est-elle pas déclarée avant 2004 ? C’est que cette année, lors d’une réunion familiale, mon frère et ma sœur m’ont avoué que mon père était très furieux que j’aie mentionné à ma mère que je l’avais VU et qu’il voulait me confronter à ce propos mais ma mère le lui interdisait. Ma prise de conscience concerne le fait que si ma vision avait été déficiente, il est possible que je n’aurais pas reconnu mon père déambulant avec sa maîtresse à cette distance. Mais il y a aussi une subtilité additionnelle car depuis que j’ai appris que mon père était en grande colère contre moi, je me demandais régulièrement si son infarctus massif et fatal serait survenu quand même si je ne l’avais pas aperçu ou si je n’avais pas mentionné cette histoire à ma mère.
Suite à cette prise de conscience, j’ai lâché prise en pardonnant à mon père mais surtout en me pardonnant. Comme résultat, je n’ai pas connu d’autres épisodes d’inflammation oculaire importante depuis 2008.
Hibou
Myasthénie gravis
La manifestation de la maladie a débuté en octobre 2002 par un trouble de la vision, soit diplopie importante (vision double). J’ai rencontré plusieurs optométristes, ophtalmologues, neuro-ophtalmologues, mais personne n’arrivait à poser un diagnostic, ni à comprendre mon problème. En janvier 2003, on m’a injecté du Tensilon et de la cortisone sans aucun succès. Par la suite, j’ai développé un ptôse (paupière tombante) de l’œil gauche alors que mon œil s’ouvrait à peine. J’ai aussi développé un nystagmus (mouvements involontaires de l’œil dans le sens horizontal), surtout de l’œil gauche.
Bref, ce problème était assez handicapant car je pouvais à peine lire, j’ai dû arrêter de conduire ma voiture, je suis tombée quelques fois car je perdais la profondeur en ne regardant qu’avec un seul œil, etc. De plus, je n’avais toujours pas de diagnostic, ni de traitement. Parallèlement à tout cela, j’ai fait comme on dit « le parcours du combattant » et j’ai essayé toutes sortes de méthodes des plus farfelues au plus crédibles.
Ce n’est qu’en juillet 2003, alors que j’avais été référée à l’Institut Neurologique de Montréal, où j’ai passé des tests révélant que je souffrais de « myasthénie gravis ». On m’a alors informée que c’était une maladie neuromusculaire chronique auto-immune. Une maladie « incurable » qui, normalement, se développe, s’aggrave avec parfois des phases de rémission. La faiblesse des muscles est due aux anticorps circulants qui bloquent les récepteurs de l’acétylcholine à la jonction neuromusculaire post-synaptique, inhibant ainsi l’effet stimulant sur le neurotransmetteur, soit l’acétylcholine.
Bref, cette maladie s’attaquait à mes yeux, mais éventuellement, pouvait s’attaquer aux jambes, etc. à n’importe quel muscle de mon corps. Elle pouvait aussi se manifester au niveau des poumons provoquant ainsi un arrêt respiratoire. On m’a prescrit du Mestinon mais sans succès.
Étant résolue et profondément convaincue que j’allais me guérir, j’ai continué mes recherches pour finalement rencontrer M. Bertrand Lemieux avec qui je n’ai eu qu’une rencontre en personne en mai 2003 et environ deux autres par téléphone et courriel. J’ai fait religieusement tous les « devoirs » suggérés et c’est de cette façon en comprenant mon projet-sens d’ambivalence/dualité que j’ai déprogrammé la maladie. Je me suis donc guérie, en très grande partie, avec l’aide de M. Lemieux et suis retournée au travail en décembre 2004 (absence de 2 ans). J’ai suivi des formations en Biologie Totale avec M. Lemieux et par la suite avec M. Claude Sabbah. C’est en prenant le cours de base avec ce dernier que j’ai fini de guérir le peu de symptômes qui restaient. Je n’ai jamais eu de « rechute » de la maladie depuis maintenant plus de 7 ans.
Avec le recul et après avoir suivi plusieurs formations avec M. Lemieux et M. Sabbah, je suis en mesure d’affirmer que lorsque bien appliqués, les principes de la Biologie Totale sont vraiment efficaces et nous amènent à la prise de conscience de notre maladie pour être en mesure de « déprogrammer » ce qui s’était mis en place au début de la maladie. N’oublions pas que ce que l’on nomme « maladie » n’est que le mal qui nous dit que quelque chose ne tourne pas rond, c’est un programme qui assure notre survie en attendant que l’on se réveille et qu’on réalise que nous n’avons plus besoin de cette maladie, de ce symptôme, de cette allergie, etc.
Merci à Messieurs Sabbah et Lemieux, merci à la Biologie Totale et merci à moi-même d’avoir fait ma guérison ! (Il faut, avant tout, être soi-même déterminé à guérir !)
J’essaie maintenant, à mon tour, d’aider le plus de gens possible à comprendre le sens de leurs malaises ou maladies.
Michèle Turcot
11 juillet 2011
Myopie
Je suis myope depuis mes 14 ans. Cela empira jusqu’à mes 20 ans et cela s’est stabilisé pendant 12 ans. Pendant ces 12 ans, mon œil gauche avait une vision de -1,75 et mon œil droit -2,25. Puis à 32 ans une légère amélioration de -0,25 dans chaque œil, à 34 ans la même amélioration ou à peu près. J’estime qu’avant la rencontre avec le Conseiller, mon œil gauche était de -1,25 à -0,75. Mon examen était en effet prévu vers cette période mais je l’ai retardé (avoir su la méga controverse de la Biologie Totale j’y serais allé avant puis après le rendez-vous). Donc je vais au rendez-vous d’une heure et le lendemain, je n’ai plus eu besoin de verre de contact pour l’œil gauche. Un mois après je suis allé à mon rendez-vous chez l’optométriste qui indiqua que la vue de mon œil gauche était absolument parfaite. Celle de mon œil droit est maintenant de -0,75. Je pense qu’il y a un double conflit non réglé mais j’ai décidé d’attendre pour le régler. La Biologie Totale m’a aidé à terminer un travail amorcé inconsciemment pour mon oeil gauche. Il ne restait pas beaucoup de travail à faire mais j’ai beaucoup apprécié de comprendre le phénomène.
Le concept de la Biologie Totale m’a aussi expliqué des maladies passées comme d’énormes crises de sinusites que j’ai réglées avant de les comprendre. Cela m’aide aussi avec de petits malaises quotidiens et ceux de ma famille. J’ai des livres de référence que je consulte selon le problème et cela règle bien souvent avant que cela empire. Dans mon sens il faut accepter les traitements médicaux qui soulagent le mal et nous permet de libérer l’esprit. Moi quand je souffre je ne pense pas!!! Quand j’ai le rhume je prends du Tylénol et du NyQuil mais j’essaie aussi de trouver et relativiser sans juger le satané conflit relationnel que j’ai eu avant pour éviter que ça ne revienne.
J.S.
Perte de la vision
Charlène a 6 ans en août 2009. Elle a une perte de vision totale de son œil gauche et 40% de son œil droit.
Son père est militaire de carrière. En 2008, il part avec la petite famille au Gabon pour deux ans. Parents, oncles et tantes promettent d’aller les visiter aux vacances 2009. Cela se réalise et trois jours après leur départ pour retourner chez eux, la vision de Charlène s’est mise à se détériorer. Sa mère et ma sœur, la grand-mère, me donnent les informations par téléphone et courriel et nous avons demandé à la petite ce qu’elle avait vécu à cette occasion. Sa réponse fut « Peur de ne plus revoir la famille ! »
Elle est revenue en France pour suivre des traitements. Pendant ce temps, elle habita chez sa grand-mère qui a pu échanger avec elle et lui expliquer pourquoi, suite à cette peur trop forte, son cerveau avait décidé de fermer sa vision. C’était pour éviter qu’elle souffre et surtout la rassurer que ce n’était que temporaire vu qu’elle reviendrait à l’été 2010 et qu’elle serait à nouveau avec la famille. Dans les trois semaines suivantes, son œil droit récupéra à 100% et il y avait une grande amélioration de son oeil gauche. Aujourd’hui, tout est revenu à la normale à 100 %.
Oeil – voir Yeux
YEUX
Uvéite rhumatismale (œil droit)
Il s’agit d’une maladie auto-immune de type rhumatismal. Jeune enfant, j’ai subi un rhumatisme articulaire aigu (RAA) suite à une infection bactérienne à streptocoques. Cela a eu un impact majeur sur les valves de mon cœur tel que diagnostiqué quelques mois après cette fièvre rhumatismale. Quant à mon uvéite à l’œil droit, elle fut diagnostiquée en 2004 au CHUM alors que je subissais une douleur oculaire intense avec photophobie. Au cours des deux années suivantes, j’ai dû me présenter périodiquement d’urgence au département d’ophtalmologie à tous les 2 ou 3 mois. On me prescrivait alors des corticoïdes ainsi que des gouttes ophtalmologiques pour dilater la pupille.
Lors d’un séminaire en Biologie Totale en 2008, j’ai fait une prise de conscience remarquable quant à la piste probable de cette maladie. L’événement date de 1986. Je circulais en voiture un jour de semaine et j’ai vu mon père qui déambulait sur le trottoir avec une dame qui m’était inconnue. Visitant ma mère plus tard cette même journée, je lui ai dit que j’avais vu papa. Elle était très surprise car mon père avait quitté pour son travail comme d’habitude tôt le matin. Le soir même, elle mentionna à mon père que je l’avais vu à plusieurs kilomètres de son travail. Il avoua qu’il fréquentait sa cousine (sa maîtresse) et ce, malgré sa promesse faite à son épouse de ne plus la revoir. Mon père est décédé subitement d’un infarctus l’année suivante.
Mais pourquoi cette maladie particulière ne s’est-elle pas déclarée avant 2004 ? C’est que cette année, lors d’une réunion familiale, mon frère et ma sœur m’ont avoué que mon père était très furieux que j’aie mentionné à ma mère que je l’avais VU et qu’il voulait me confronter à ce propos mais ma mère le lui interdisait. Ma prise de conscience concerne le fait que si ma vision avait été déficiente, il est possible que je n’aurais pas reconnu mon père déambulant avec sa maîtresse à cette distance. Mais il y a aussi une subtilité additionnelle car depuis que j’ai appris que mon père était en grande colère contre moi, je me demandais régulièrement si son infarctus massif et fatal serait survenu quand même si je ne l’avais pas aperçu ou si je n’avais pas mentionné cette histoire à ma mère.
Suite à cette prise de conscience, j’ai lâché prise en pardonnant à mon père mais surtout en me pardonnant. Comme résultat, je n’ai pas connu d’autres épisodes d’inflammation oculaire importante depuis 2008.
Hibou
Myasthénie gravis
La manifestation de la maladie a débuté en octobre 2002 par un trouble de la vision, soit diplopie importante (vision double). J’ai rencontré plusieurs optométristes, ophtalmologues, neuro-ophtalmologues, mais personne n’arrivait à poser un diagnostic, ni à comprendre mon problème. En janvier 2003, on m’a injecté du Tensilon et de la cortisone sans aucun succès. Par la suite, j’ai développé un ptôse (paupière tombante) de l’œil gauche alors que mon œil s’ouvrait à peine. J’ai aussi développé un nystagmus (mouvements involontaires de l’œil dans le sens horizontal), surtout de l’œil gauche.
Bref, ce problème était assez handicapant car je pouvais à peine lire, j’ai dû arrêter de conduire ma voiture, je suis tombée quelques fois car je perdais la profondeur en ne regardant qu’avec un seul œil, etc. De plus, je n’avais toujours pas de diagnostic, ni de traitement. Parallèlement à tout cela, j’ai fait comme on dit « le parcours du combattant » et j’ai essayé toutes sortes de méthodes des plus farfelues au plus crédibles.
Ce n’est qu’en juillet 2003, alors que j’avais été référée à l’Institut Neurologique de Montréal, où j’ai passé des tests révélant que je souffrais de « myasthénie gravis ». On m’a alors informée que c’était une maladie neuromusculaire chronique auto-immune. Une maladie « incurable » qui, normalement, se développe, s’aggrave avec parfois des phases de rémission. La faiblesse des muscles est due aux anticorps circulants qui bloquent les récepteurs de l’acétylcholine à la jonction neuromusculaire post-synaptique, inhibant ainsi l’effet stimulant sur le neurotransmetteur, soit l’acétylcholine.
Bref, cette maladie s’attaquait à mes yeux, mais éventuellement, pouvait s’attaquer aux jambes, etc. à n’importe quel muscle de mon corps. Elle pouvait aussi se manifester au niveau des poumons provoquant ainsi un arrêt respiratoire. On m’a prescrit du Mestinon mais sans succès.
Étant résolue et profondément convaincue que j’allais me guérir, j’ai continué mes recherches pour finalement rencontrer M. Bertrand Lemieux avec qui je n’ai eu qu’une rencontre en personne en mai 2003 et environ deux autres par téléphone et courriel. J’ai fait religieusement tous les « devoirs » suggérés et c’est de cette façon en comprenant mon projet-sens d’ambivalence/dualité que j’ai déprogrammé la maladie. Je me suis donc guérie, en très grande partie, avec l’aide de M. Lemieux et suis retournée au travail en décembre 2004 (absence de 2 ans). J’ai suivi des formations en Biologie Totale avec M. Lemieux et par la suite avec M. Claude Sabbah. C’est en prenant le cours de base avec ce dernier que j’ai fini de guérir le peu de symptômes qui restaient. Je n’ai jamais eu de « rechute » de la maladie depuis maintenant plus de 7 ans.
Avec le recul et après avoir suivi plusieurs formations avec M. Lemieux et M. Sabbah, je suis en mesure d’affirmer que lorsque bien appliqués, les principes de la Biologie Totale sont vraiment efficaces et nous amènent à la prise de conscience de notre maladie pour être en mesure de « déprogrammer » ce qui s’était mis en place au début de la maladie. N’oublions pas que ce que l’on nomme « maladie » n’est que le mal qui nous dit que quelque chose ne tourne pas rond, c’est un programme qui assure notre survie en attendant que l’on se réveille et qu’on réalise que nous n’avons plus besoin de cette maladie, de ce symptôme, de cette allergie, etc.
Merci à Messieurs Sabbah et Lemieux, merci à la Biologie Totale et merci à moi-même d’avoir fait ma guérison ! (Il faut, avant tout, être soi-même déterminé à guérir !)
J’essaie maintenant, à mon tour, d’aider le plus de gens possible à comprendre le sens de leurs malaises ou maladies.
Michèle Turcot
11 juillet 2011
Myopie
Je suis myope depuis mes 14 ans. Cela empira jusqu’à mes 20 ans et cela s’est stabilisé pendant 12 ans. Pendant ces 12 ans, mon œil gauche avait une vision de -1,75 et mon œil droit -2,25. Puis à 32 ans une légère amélioration de -0,25 dans chaque œil, à 34 ans la même amélioration ou à peu près. J’estime qu’avant la rencontre avec le Conseiller, mon œil gauche était de -1,25 à -0,75. Mon examen était en effet prévu vers cette période mais je l’ai retardé (avoir su la méga controverse de la Biologie Totale j’y serais allé avant puis après le rendez-vous). Donc je vais au rendez-vous d’une heure et le lendemain, je n’ai plus eu besoin de verre de contact pour l’œil gauche. Un mois après je suis allé à mon rendez-vous chez l’optométriste qui indiqua que la vue de mon œil gauche était absolument parfaite. Celle de mon œil droit est maintenant de -0,75. Je pense qu’il y a un double conflit non réglé mais j’ai décidé d’attendre pour le régler. La Biologie Totale m’a aidé à terminer un travail amorcé inconsciemment pour mon oeil gauche. Il ne restait pas beaucoup de travail à faire mais j’ai beaucoup apprécié de comprendre le phénomène.
Le concept de la Biologie Totale m’a aussi expliqué des maladies passées comme d’énormes crises de sinusites que j’ai réglées avant de les comprendre. Cela m’aide aussi avec de petits malaises quotidiens et ceux de ma famille. J’ai des livres de référence que je consulte selon le problème et cela règle bien souvent avant que cela empire. Dans mon sens il faut accepter les traitements médicaux qui soulagent le mal et nous permet de libérer l’esprit. Moi quand je souffre je ne pense pas!!! Quand j’ai le rhume je prends du Tylénol et du NyQuil mais j’essaie aussi de trouver et relativiser sans juger le satané conflit relationnel que j’ai eu avant pour éviter que ça ne revienne.
J.S.
Perte de la vision
Charlène a 6 ans en août 2009. Elle a une perte de vision totale de son œil gauche et 40% de son œil droit.
Son père est militaire de carrière. En 2008, il part avec la petite famille au Gabon pour deux ans. Parents, oncles et tantes promettent d’aller les visiter aux vacances 2009. Cela se réalise et trois jours après leur départ pour retourner chez eux, la vision de Charlène s’est mise à se détériorer. Sa mère et ma sœur, la grand-mère, me donnent les informations par téléphone et courriel et nous avons demandé à la petite ce qu’elle avait vécu à cette occasion. Sa réponse fut « Peur de ne plus revoir la famille ! »
Elle est revenue en France pour suivre des traitements. Pendant ce temps, elle habita chez sa grand-mère qui a pu échanger avec elle et lui expliquer pourquoi, suite à cette peur trop forte, son cerveau avait décidé de fermer sa vision. C’était pour éviter qu’elle souffre et surtout la rassurer que ce n’était que temporaire vu qu’elle reviendrait à l’été 2010 et qu’elle serait à nouveau avec la famille. Dans les trois semaines suivantes, son œil droit récupéra à 100% et il y avait une grande amélioration de son oeil gauche. Aujourd’hui, tout est revenu à la normale à 100 %.
Ongle (mutilation des cuticules) – voir Mains
MAINS
Tics nerveux
À l’âge de 7 ans, suite à notre déménagement, mon fils à développé un tic nerveux qu’il pouvait faire au moins 100 fois par jour : fermer et ouvrir ses mains en les tournant. C’était impossible de l’arrêter, même en faisant ses devoirs scolaires.
J’ai reconnu que, au 7e mois de grossesse, j’ai perdu ma grand-mère. J’aurais voulu la retenir… Il exprimait donc mon problème, dans son physique. En faisant une déprogrammation, en lui expliquant les faits, dans les 2 semaines qui suivirent, son tic nerveux était complètement disparu !
Lily
Pouce en gâchette (Trigger finger)
J’ai eu un étirement du pouce qui a dégénéré en « pouce en gâchette ». Pour éviter la douleur et tout mouvement de gâchette, le pouce est immobilisé avec une attelle. Après plusieurs mois de tentative de réparation en physiothérapie, sans succès, j’étais en attente pour une chirurgie car c’était le dernier recours pour ramener le pouce (mouvement) à l’état normal et supprimer la douleur.
Un an plus tard, en suivant mes cours de Biologie Totale : réparation et guérison du pouce à 95 %, mon muscle était déjà endommagé par trop de laser et de physiothérapie. Je n’avais plus aucune douleur, ni aucune inflammation. La chirurgie a donc été annulée.
Ti-Croteux
Mutilation des cuticules
Depuis 5 ans je me suis intéressée à diverses sources de médecines douces pour régler les divers petits problèmes qui m’affectaient et aider aussi ma famille. J’ai découvert la Biologie Totale au début de l’année 2007. J’ai consulté 3 fois un Conseiller de la région de Québec et j’ai aussi assisté à 2 séminaires de 3 heures donné par lui et son assistante. Je suis tout à fait d’accord avec le principe que la maladie est une solution pour le cerveau à diverses pensées ou émotions.
Durant une pause lors d’un séminaire en 2007, j’ai posé cette question au Conseiller « Pourquoi depuis l’enfance j’étais incapable d’arrêter de me mutiler les cuticules des doigts? » Depuis mes 6-7 ans, j’ai toujours eu les doigts rouges, enflés et souvent saignants de par ce comportement néfaste de ma part. Avec des doigts libres, j’arrachais la peau des cuticules et allait plus loin presque aux jointures parfois. Les médecins me prescrivaient des crèmes à la cortisone pour soigner mais évidemment mon comportement faisait que le problème recommençait toujours. Mais durant cette pause ce soir-là, suite à ma question, le Conseiller me dit une seule phrase. Je l’ai regardé les yeux ronds sans la comprendre car cela n’avait aucun sens pour moi. La pause se termina et le cours se poursuivi. Puis, par la suite, je retournai chez moi sans trop repenser à cette phrase. Mais dès le lendemain et depuis ce temps, soit 1 an et demi, je n’ai jamais recommencé. De mes 7 ans jusqu’à mes 34 ans en mai 2007, j’ai eu ce problème et en une seule soirée cela a disparu avec une seule phrase en plus.
J.S.
Parole (langue parlée)
PAROLE
Langue parlée
À l’âge de 6 ans, mon enfant refusait de parler anglais bien qu’il fréquentait une école anglophone. En Biologie Totale, j’ai compris que c’était un problème relié à la grand-maman. La famille paternelle était définitivement contre l’anglais et moi, je venais d’une famille anglaise, du côté maternel. Alors mon fils portait en lui cette croyance de ne pas parler anglais.
J’ai fait une déprogrammation car je lui ai répété 2 fois que cela ne lui appartenait pas et qu’il pouvait maintenant s’exprimer en anglais. Le lendemain matin, il me réveille en me parlant en anglais. Il a terminé sa 1ère année en parlant l’anglais comme tous les autres enfants de sa classe.
Lily
Peau (eczéma, taches)
PEAU
Eczéma
Je souffrais d’eczéma aux mains depuis 12 ans. Le tout a commencé par la main droite pour ensuite, 5 ans plus tard, s’étendre à ma main gauche. Je ressentais toujours le besoin de me gratter et je devais parfois m’ébouillanter les mains pour me soulager.
Quand j’ai rencontré l’animateur en Biologie Totale, il m’a fait comprendre que ce problème appartenait à un conflit qui n’était pas réglé en moi. Il y a 12 ans, mes parents se sont séparés. Il m’explique alors que je devais régler ce conflit avec un de mes deux parents (mon père). Je savais en moi que je devais parler à mon père et lui exprimer à quel point je l’aime, ainsi que sa compagne, et lui avouer qu’il me manque énormément. Mon père m’a téléphoné pour que j’aille le voir et je lui ai tout exprimé. Je n’ai plus de trace d’eczéma et de gerçures aux mains depuis. Merci à mon animateur en Biologie Totale !
L’Aigle
Taches sur la peau
À 23 ans, alors que cela faisait un an et demi que je sortais avec ma blonde, elle me téléphone un soir et m’explique rapidement que notre relation est terminée : BANG ! Je ne comprends pas et je suis sous le choc. J’ai l’impression de m’être fait « tromper » !!!
Dans les jours qui suivent, il m’apparaît des taches rougeâtres sous les aisselles. Ça ne chauffe pas, ne pique pas, mais c’est là. Les taches grossissent et descendent jusqu’au-dessus des hanches. Cela dure 4 mois. Ma tante m’explique que je dois trouver mon « ressenti », trouver le « mot-clé ». Alors, le soir je me couche et je me dis « Bon, j’ai des … », le mot que je voulais dire c’était « taches » mais le mot qui m’est venu c’est « plaques ». Je prends alors conscience que je me suis fait « plaqué » !!!
Le lendemain, les plaques rouges commencent à se résorber, puis elles ont disparues en 2 jours.
Le Pharmacien
Peur (claustrophobie, dessin)
PEURS
Claustrophobie
Stéphane a 35 ans. Il souffre de claustrophobie dans un ascenseur, dans le métro, etc.
Claustrophobie dans ascenseur, métro, ne pouvait pas sortir de sa ville en voiture s’il n’utilisait pas un chemin connu, sinon il s’arrêtait sur la route en panique et retournait au point de départ.
Histoire : Début du problème suite à un blocage du métro entre deux stations, plus d’électricité Panique totale: Si je veux sortir, je ne pourrais pas ! À la naissance, l’accouchement avait duré 36 heures en douleurs. La mère à été endormie alors que l’enfant était bien engagé, mais bloqué. Ils ont eu peur de perdre la mère.
Lors de la prise de conscience, Stéphane se voyait bloqué, impossible de retourner, pas d’issue. Je ne vois pas la lumière au bout du tunnel !
Pour lui c’était la même chose que dans la panne du métro. Dès le lendemain, il ne ressentait plus aucun malaise.
Horreur du dessin
Quand j’étais à l’école primaire, et par la suite tout au long de ma vie, j’avais une sainte horreur de la période du vendredi après-midi car c’était jour de dessin. J’en avais mal au ventre et au cœur et je m’organisais toujours pour trainer sur le travail à faire pour le faire terminer par quelqu’un à la maison durant la fin de semaine.
Lorsque j’ai suivi le cours intitulé « Apprentissages scolaires et les problèmes qui y sont reliés », j’ai questionné sur le pourquoi de ce blocage au niveau du dessin. L’animateur m’a alors demandé si ma mère avait le droit de faire des projets et de les réaliser (desseins). Après réflexion, j’ai réalisé que non, car tout était subordonné à l’acceptation de mon père, malgré le fait qu’il passait toute la semaine à l’extérieur de la maison à cause de son travail. Il travaillait dans le bois, mais c’était bien lui, malgré la distance, qui tenait entre ses mains toutes les décisions concernant les projets de ma mère.
Suite à cette prise de conscience, qu’elle ne fut pas ma surprise de me voir à la bibliothèque municipale, 2 semaines plus tard, et d’avoir le goût de me réserver des livres sur le thème du dessin. Chose que j’ai faite d’ailleurs. Si on m’avait dit que je ferais cela un jour, j’aurais juré que jamais ça ne se produirait… et pourtant, aujourd’hui, en plus d’avoir pris intérêt à la chose, j’ai même suggéré, organisé et obtenu un cours intitulé « Dessin pour les nuls », cours auquel je suis présentement inscrite et que j’attends avec impatience tous les vendredis matins… Tiens ! Tiens ! Je n’avais pas remarqué jusqu’à cet instant la coïncidence du vendredi !!!
Merci pour cette prise de conscience qui m’enchante maintenant.
Gitane
Phobie – voir Peur
PEURS
Claustrophobie
Stéphane a 35 ans. Il souffre de claustrophobie dans un ascenseur, dans le métro, etc.
Claustrophobie dans ascenseur, métro, ne pouvait pas sortir de sa ville en voiture s’il n’utilisait pas un chemin connu, sinon il s’arrêtait sur la route en panique et retournait au point de départ.
Histoire : Début du problème suite à un blocage du métro entre deux stations, plus d’électricité Panique totale: Si je veux sortir, je ne pourrais pas ! À la naissance, l’accouchement avait duré 36 heures en douleurs. La mère à été endormie alors que l’enfant était bien engagé, mais bloqué. Ils ont eu peur de perdre la mère.
Lors de la prise de conscience, Stéphane se voyait bloqué, impossible de retourner, pas d’issue. Je ne vois pas la lumière au bout du tunnel !
Pour lui c’était la même chose que dans la panne du métro. Dès le lendemain, il ne ressentait plus aucun malaise.
Horreur du dessin
Quand j’étais à l’école primaire, et par la suite tout au long de ma vie, j’avais une sainte horreur de la période du vendredi après-midi car c’était jour de dessin. J’en avais mal au ventre et au cœur et je m’organisais toujours pour trainer sur le travail à faire pour le faire terminer par quelqu’un à la maison durant la fin de semaine.
Lorsque j’ai suivi le cours intitulé « Apprentissages scolaires et les problèmes qui y sont reliés », j’ai questionné sur le pourquoi de ce blocage au niveau du dessin. L’animateur m’a alors demandé si ma mère avait le droit de faire des projets et de les réaliser (desseins). Après réflexion, j’ai réalisé que non, car tout était subordonné à l’acceptation de mon père, malgré le fait qu’il passait toute la semaine à l’extérieur de la maison à cause de son travail. Il travaillait dans le bois, mais c’était bien lui, malgré la distance, qui tenait entre ses mains toutes les décisions concernant les projets de ma mère.
Suite à cette prise de conscience, qu’elle ne fut pas ma surprise de me voir à la bibliothèque municipale, 2 semaines plus tard, et d’avoir le goût de me réserver des livres sur le thème du dessin. Chose que j’ai faite d’ailleurs. Si on m’avait dit que je ferais cela un jour, j’aurais juré que jamais ça ne se produirait… et pourtant, aujourd’hui, en plus d’avoir pris intérêt à la chose, j’ai même suggéré, organisé et obtenu un cours intitulé « Dessin pour les nuls », cours auquel je suis présentement inscrite et que j’attends avec impatience tous les vendredis matins… Tiens ! Tiens ! Je n’avais pas remarqué jusqu’à cet instant la coïncidence du vendredi !!!
Merci pour cette prise de conscience qui m’enchante maintenant.
Gitane
Pieds (froideur)
PIEDS
Pieds froids
Depuis 2 ans, j’avais les pieds froids en permanence. Pendant un cours en Biologie Totale, simplement en travaillant en équipe et en appliquant de nouvelles théories, le lendemain matin la température de mes pieds avait déjà remontée de quelques degrés. Donc après seulement quelques heures d’enseignement et de pratique, une amélioration très appréciable s’est manifestée et j’ai acquis de puissants outils pour m’amener vers une guérison. Guérison depuis 2 ans.
Écureuil
Pouce (étirement - voir Mains)
MAINS
Tics nerveux
À l’âge de 7 ans, suite à notre déménagement, mon fils à développé un tic nerveux qu’il pouvait faire au moins 100 fois par jour : fermer et ouvrir ses mains en les tournant. C’était impossible de l’arrêter, même en faisant ses devoirs scolaires.
J’ai reconnu que, au 7e mois de grossesse, j’ai perdu ma grand-mère. J’aurais voulu la retenir… Il exprimait donc mon problème, dans son physique. En faisant une déprogrammation, en lui expliquant les faits, dans les 2 semaines qui suivirent, son tic nerveux était complètement disparu !
Lily
Pouce en gâchette (Trigger finger)
J’ai eu un étirement du pouce qui a dégénéré en « pouce en gâchette ». Pour éviter la douleur et tout mouvement de gâchette, le pouce est immobilisé avec une attelle. Après plusieurs mois de tentative de réparation en physiothérapie, sans succès, j’étais en attente pour une chirurgie car c’était le dernier recours pour ramener le pouce (mouvement) à l’état normal et supprimer la douleur.
Un an plus tard, en suivant mes cours de Biologie Totale : réparation et guérison du pouce à 95 %, mon muscle était déjà endommagé par trop de laser et de physiothérapie. Je n’avais plus aucune douleur, ni aucune inflammation. La chirurgie a donc été annulée.
Ti-Croteux
Mutilation des cuticules
Depuis 5 ans je me suis intéressée à diverses sources de médecines douces pour régler les divers petits problèmes qui m’affectaient et aider aussi ma famille. J’ai découvert la Biologie Totale au début de l’année 2007. J’ai consulté 3 fois un Conseiller de la région de Québec et j’ai aussi assisté à 2 séminaires de 3 heures donné par lui et son assistante. Je suis tout à fait d’accord avec le principe que la maladie est une solution pour le cerveau à diverses pensées ou émotions.
Durant une pause lors d’un séminaire en 2007, j’ai posé cette question au Conseiller « Pourquoi depuis l’enfance j’étais incapable d’arrêter de me mutiler les cuticules des doigts? » Depuis mes 6-7 ans, j’ai toujours eu les doigts rouges, enflés et souvent saignants de par ce comportement néfaste de ma part. Avec des doigts libres, j’arrachais la peau des cuticules et allait plus loin presque aux jointures parfois. Les médecins me prescrivaient des crèmes à la cortisone pour soigner mais évidemment mon comportement faisait que le problème recommençait toujours. Mais durant cette pause ce soir-là, suite à ma question, le Conseiller me dit une seule phrase. Je l’ai regardé les yeux ronds sans la comprendre car cela n’avait aucun sens pour moi. La pause se termina et le cours se poursuivi. Puis, par la suite, je retournai chez moi sans trop repenser à cette phrase. Mais dès le lendemain et depuis ce temps, soit 1 an et demi, je n’ai jamais recommencé. De mes 7 ans jusqu’à mes 34 ans en mai 2007, j’ai eu ce problème et en une seule soirée cela a disparu avec une seule phrase en plus.
J.S.
Prostate (taux PSA anormal)
PROSTATE
Taux de PSA anormal
Jusqu’en 2008, mes examens sanguins annuels indiquaient des taux de PSA (Antigène prostatique spécifique) inférieurs à 2.5, la valeur de référence étant d’au plus 4.0. En 2009, ce taux est de 3.25 ce qui inquiète mon médecin de famille à cause de la hausse importante depuis les 12 derniers mois. Un an plus tard en 2010, le taux atteint 3.85. Mon médecin me suggère fortement de voir un urologue à ce sujet et me remet une demande de consultation. Lors d’une visite un mois plus tard pour une grippe, je lui mentionne ma décision de reporter la consultation prostatique à l’année suivante selon les résultats sanguins. Les résultats sanguins de décembre 2011 indique un taux PSA de 6.0 ce qui bouleverse mon médecin qui insiste que je consulte avec un urologue lequel pourrait probablement me recommander une biopsie afin d’en avoir le « coeur net ».
Lors du rendez-vous chez l’urologue de mon choix à la mi-décembre 2011, nous convenons d’un test sanguin additionnel afin de confirmer le taux de PSA anormal avant de considérer la suite. Ce test effectué en janvier 2012 indique un taux PSA de 3.5 ce qui est considéré comme normal pour un homme de 60 ans. Mais que s’est-il donc passé? Évidemment les sceptiques avanceront que le taux PSA de 6,0 est dû à une erreur humaine, soit la seule explication possible. Mais voici ma version des choses selon les principes et les notions de la Biologie Totale (BT). Selon la BT, une problématique affectant la prostate peut être associé à un conflit ayant trait aux petits-enfants (ou conflit du grand-père).
Je suis devenu grand-père en novembre 2010. Donc, je croyais que la piste de l’accroissement continu de mon taux de PSA pouvait être le fait que mon petit-fils a connu des symptômes grippaux à répétition et que d’autres malaises additionnels apparaissaient depuis son début à la garderie. J’avais donc des inquiétudes à son égard. Mais avec un taux élevé de 6.0 en décembre 2011, cela ne semblait pas être la seule piste. Nous savons que le cerveau ne fait pas de différence entre le réel, l’imaginaire, le symbolique et le virtuel. Par exemple, lorsque nous avons peur lorsque nous regardons un film d’horreur bien que nous sommes conscients que nous sommes assis confortablement dans notre salon. Néanmoins, la réponse physiologique sera similaire à celle que nous connaîtrions en situation de survie similaire. De là, je crois avoir trouvé la piste principale de mon haut taux de PSA et, comme conséquence, ce taux est passé de 6.0 à 3.5 en un seul mois. En 2002, nous avons eu une portée de chatons siamois-tonkinois. En plus des parents et du frère de la mère chatte, nous avons conservé un seul chaton alors que les autres furent distribués à des membres familiaux. J’ai toujours été très attachés à eux…ils étaient comme mes PETITS-ENFANTS! Deux de ces chats demeuraient chez ma belle-soeur qui en novembre 2011 nous annonça subitement qu’elle voulait se débarrasser de ses chats dont une chatte que j’affectionne tout particulièrement. Nous avions déjà 4 chats à la maison alors que faire? J’étais en surstress à l’idée que ses deux chats seraient séparés et peut être pire, euthanasiés. Nous avons donc résolu de les reprendre; le retour au bercail quoi! Le conflit étant réglé, mon taux de PSA est revenu normal immédiatement.
Hibou
Raideur - voir Jambes
JAMBE
Raideur d’une jambe
Absolument génial ! Y’a pas de mots ! En une journée de cours et une nuit, c’est un changement assez spectaculaire !
J’avais la jambe gauche raide, difficile à bouger et je me suis levée légère avec le pied gauche vers l’extérieur. J’ai passé une nuit à avoir chaud, à sentir mes pieds en feu, des courants chauds, froids, comme si l’énergie était radioactive et passait partout en moi. Les hanches, les épaules, la nuque, la tête, partout, partout, jusqu’aux joues ! J’ai tourné, tourné dans mon lit jusqu’à finalement m’arrêter sur le ventre et sentir mon corps, comme une pelure d’oignon mais beaucoup plus lourde se détacher de mon corps. Peu importe les 3 heures du matin, j’aurais dansé quand même !!! Mêmes mes épaules se sont allégées. C’est merveilleux !
Lam
Sténose aortique voir Coeur
COEUR
Sténose aortique et insuffisance valve mitrale
Jeune enfant, j’ai subi un rhumatisme articulaire aigu (RAA) suite à une infection bactérienne à streptocoques. Cela a eu un impact majeur sur les valves de mon cœur, tel que diagnostiqué quelques mois après cette fièvre rhumatismale.
Plus précisément, il s’agissait d’une sténose aortique ainsi que d’une insuffisance de la valve mitrale. Je suis né avec un Syndrome de Wolff-Parkinson-White (WPW) qui est une anomalie congénitale de la conduction électrique du cœur. Cela provoquait régulièrement des épisodes de tachyarythmie qui se résorbaient d’eux-mêmes, du moins jusqu’à l’approche de mes 40 ans alors que j’ai dû subir d’urgence une chirurgie invasive pour enrayer ces symptômes. Bref, les pronostics quant à mes maladies cardiaques étaient plutôt pessimistes depuis ma jeunesse alors que je subissais régulièrement leurs effets symptomatiques.
À l’âge adulte, je fus aussi diagnostiqué ayant des cordages excessifs à la valve mitrale ainsi qu’une cardiomégalie soit une hypertrophie du coeur (ou gros cœur) résultant des efforts supplémentaires exigés de la part du muscle cardiaque vu mes pathologies.
Le 27 mars 2008, j’avais rendez-vous avec mon cardiologue dont je suis le patient depuis plus de vingt ans pour connaître les résultats d’examens complets récents. Bouche bée et le visage hagard, il est totalement renversé en prenant connaissance des résultats pour la première fois. Il n’y a plus aucune pathologie cardiaque et mon cœur est complètement normal pour un homme de 56 ans. Tout à fait incroyable ! Tout comme pour mon cardiologue, les autres intervenants médicaux – incluant mon médecin de famille depuis plus de 30 ans – sont totalement ahuris en constatant les résultats qui vont à l’encontre de tout ce qu’ils ont appris depuis leur formation médicale.
Dans mon ouvrage « Mon cœur guéri et mon âme retrouvée », publié en 2009 et dont la version anglaise « My Heart Healed, My Soul Revealed » est disponible depuis 2011, je mentionne ma ferme conviction que les notions apprises et mes prises de conscience lors des séminaires en Biologie Totale avec monsieur Claude Sabbah et messieurs Bertrand Lemieux et Gérard Athias, constituent la pierre angulaire de mon puzzle me permettant de guérir de mes pathologies cardiaques au grand étonnement des instances médicales.
JJF
Thyroïde (hypothyroïdie)
THYROÏDE
Hypothyroïdie
En 2003 je suis anormalement fatiguée et je vais consulter pour savoir pourquoi. J’avais différents symptômes qui me dérangeaient. Le résultat : hypothyroïdie. Étant donné que trois de mes sœurs étaient passées par là, je ne voulais pas qu’on brûle ma thyroïde par radiations et prendre des médicaments à vie. Je me suis donné une chance de faire autrement avant le grand pas en optant plutôt pour la médecine alternative et je suis allée voir un naturopathe. J’ai changé plusieurs aspects de ma vie et cela fonctionna pendant plus de 2 ans.
En 2005, les symptômes réapparaissent progressivement. Les traitements et toute l’aide que je me donnais pour contrer l’hypothyroïdie ne donnaient plus de résultats concluants. J’avais déjà débuté ma formation en Biologie Totale avec Monsieur Claude Sabbah. À cette époque, je suis allée suivre un stage technique en France et une démonstration en « live » avec Monsieur Sabbah lequel me permit de comprendre l’origine de cette maladie dans mon histoire, d’en prendre conscience et de libérer le stress s’y rattachant.
Depuis ce temps, je n’ai plus de symptômes de l’hypothyroïdie et j’ai des tests sanguins prouvant cet état.
Grandement merci à la Biologie Totale et à Monsieur Claude Sabbah.
Hélène
Tics – voir Mains
MAINS
Tics nerveux
À l’âge de 7 ans, suite à notre déménagement, mon fils à développé un tic nerveux qu’il pouvait faire au moins 100 fois par jour : fermer et ouvrir ses mains en les tournant. C’était impossible de l’arrêter, même en faisant ses devoirs scolaires.
J’ai reconnu que, au 7e mois de grossesse, j’ai perdu ma grand-mère. J’aurais voulu la retenir… Il exprimait donc mon problème, dans son physique. En faisant une déprogrammation, en lui expliquant les faits, dans les 2 semaines qui suivirent, son tic nerveux était complètement disparu !
Lily
Pouce en gâchette (Trigger finger)
J’ai eu un étirement du pouce qui a dégénéré en « pouce en gâchette ». Pour éviter la douleur et tout mouvement de gâchette, le pouce est immobilisé avec une attelle. Après plusieurs mois de tentative de réparation en physiothérapie, sans succès, j’étais en attente pour une chirurgie car c’était le dernier recours pour ramener le pouce (mouvement) à l’état normal et supprimer la douleur.
Un an plus tard, en suivant mes cours de Biologie Totale : réparation et guérison du pouce à 95 %, mon muscle était déjà endommagé par trop de laser et de physiothérapie. Je n’avais plus aucune douleur, ni aucune inflammation. La chirurgie a donc été annulée.
Ti-Croteux
Mutilation des cuticules
Depuis 5 ans je me suis intéressée à diverses sources de médecines douces pour régler les divers petits problèmes qui m’affectaient et aider aussi ma famille. J’ai découvert la Biologie Totale au début de l’année 2007. J’ai consulté 3 fois un Conseiller de la région de Québec et j’ai aussi assisté à 2 séminaires de 3 heures donné par lui et son assistante. Je suis tout à fait d’accord avec le principe que la maladie est une solution pour le cerveau à diverses pensées ou émotions.
Durant une pause lors d’un séminaire en 2007, j’ai posé cette question au Conseiller « Pourquoi depuis l’enfance j’étais incapable d’arrêter de me mutiler les cuticules des doigts? » Depuis mes 6-7 ans, j’ai toujours eu les doigts rouges, enflés et souvent saignants de par ce comportement néfaste de ma part. Avec des doigts libres, j’arrachais la peau des cuticules et allait plus loin presque aux jointures parfois. Les médecins me prescrivaient des crèmes à la cortisone pour soigner mais évidemment mon comportement faisait que le problème recommençait toujours. Mais durant cette pause ce soir-là, suite à ma question, le Conseiller me dit une seule phrase. Je l’ai regardé les yeux ronds sans la comprendre car cela n’avait aucun sens pour moi. La pause se termina et le cours se poursuivi. Puis, par la suite, je retournai chez moi sans trop repenser à cette phrase. Mais dès le lendemain et depuis ce temps, soit 1 an et demi, je n’ai jamais recommencé. De mes 7 ans jusqu’à mes 34 ans en mai 2007, j’ai eu ce problème et en une seule soirée cela a disparu avec une seule phrase en plus.
J.S.
Troubles respiratoires (apnée du sommeil, asthme)
TROUBLES RESPIRATOIRES
Asthme
J’ai développé de l’asthme en raison d’une allergie importante à la fumée de cigarette. Au départ, mon médecin me prescrit une pompe bleue. Quelques années plus tard, il a dû me prescrire trois (3) pompes différentes : une bleue (bronchodilatateur à action rapide), une orange (cortisone en aérosol) et une jaune pour la prévention lorsque je savais que j’allais être en présence de fumeurs. Mes allergies étaient rendues telles que seulement une couple de minutes à respirer de la fumée de cigarette pouvait nécessiter un détour aux urgences de l’hôpital !
Lors de mon premier cours de base en Biologie Totale avec Bertrand Lemieux, je lui ai demandé quel pourrait être le conflit lié à mes allergies à la fumée de cigarette. Sa réponse fut « C’est la séparation d’un être cher ! ». Je retourne à ma place et me demande de qui j’ai été séparée et je retrouve les deux évènements reliés à ce conflit.
L’évènement programmant est survenu lorsque j’avais 15 ans lorsque ma mère a fait une grave dépression suite à une visite au salon mortuaire. Mon frère entre la maison avec une cigarette et elle lui saute à la gorge. J’ai cru qu’elle le tuerait !
L’événement déclenchant survient à mes 30 ans (soit le double de 15 ans…donc un cycle biologique cellulaire mémorisé ou CBCM). Mon frère avait coupé les ponts avec la famille suite à des commentaires négatifs à propos de son épouse. Trois ans plus tard, j’ai choisi de reprendre avec suite au décès accidentel du beau-frère de ma sœur qui avait environ le même âge. Donc pour moi c’était ÉVIDENT que cette séparation avec mon frère, un gros fumeur, avait exacerbée mes allergies à la fumée de cigarette dues au conflit programmant vécu alors que j’avais 15 ans.
La prise de conscience de ces deux conflits inter-reliés et l’évidence de ces pistes furent une révélation pour moi. Elles ont produites spontanément des chaleurs et des frissons dans tout mon corps ainsi que des tremblements de mains pendant une trentaine de secondes.
En arrivant pour le cours le matin même, j’ai dû retenir mon souffle pour traverser plusieurs fumeurs rassemblés devant la porte d’entrée pour ne pas inspirer leurs fumées, sinon ! Maintenant que j’avais en conscience les événements programmant et déclenchant de ma « mal-a-dit », je savais que je n’étais plus allergique à la fumée de cigarette. À la fin du cours, j’ai pris une grande inspiration à la sortie où les fumeurs s’étaient rassemblés à nouveau…et rien ! J’ai fait de même à plusieurs reprises incluant dans des endroits où on pouvait couper la fumée au couteau ! Depuis 2002, je n’ai utilisé aucune « pompe » car je ne fais plus d’asthme. Mon médecin n’a jamais pu expliquer ce revirement complet.
J’ai beaucoup de gratitude pour la Biologie Totale car je sais que cela fonctionne.
Helios
Apnée du sommeil
Daniel 49 ans : Apnée du sommeil depuis 2 ans.
Utilisation quotidienne de l’appareil respiratoire, bouteille, pour la nuit .
Déclenchement : suite à une séparation douloureuse, sa femme lui dit: tu recherches ta mère dans toutes les femmes.
Programmant : à 12 ans, au retour de l’école il trouve sa mère asphyxiée dans l’auto en marche dans le garage.
J’avais suivi des cours de réanimation, mais je n’ai rien pu faire !
Deux semaines après la consultation, il avait la garde de ses enfants pour la fin de semaine et pour se sécuriser et ne pas nuire aux enfants, il a repris son appareil respiratoire qu’il avait laissé de coté depuis sa 1ère rencontre car sa prise de conscience avait été fantastique, mais n’est plus capable de supporter la vision cet appareil. Il avait la preuve de sa guérison. Il n’a pas eu de récidive depuis 4 ans.
ASTHMÉ
Uvéite (rhumatismale) -voir Yeux
YEUX
Uvéite rhumatismale (œil droit)
Il s’agit d’une maladie auto-immune de type rhumatismal. Jeune enfant, j’ai subi un rhumatisme articulaire aigu (RAA) suite à une infection bactérienne à streptocoques. Cela a eu un impact majeur sur les valves de mon cœur tel que diagnostiqué quelques mois après cette fièvre rhumatismale. Quant à mon uvéite à l’œil droit, elle fut diagnostiquée en 2004 au CHUM alors que je subissais une douleur oculaire intense avec photophobie. Au cours des deux années suivantes, j’ai dû me présenter périodiquement d’urgence au département d’ophtalmologie à tous les 2 ou 3 mois. On me prescrivait alors des corticoïdes ainsi que des gouttes ophtalmologiques pour dilater la pupille.
Lors d’un séminaire en Biologie Totale en 2008, j’ai fait une prise de conscience remarquable quant à la piste probable de cette maladie. L’événement date de 1986. Je circulais en voiture un jour de semaine et j’ai vu mon père qui déambulait sur le trottoir avec une dame qui m’était inconnue. Visitant ma mère plus tard cette même journée, je lui ai dit que j’avais vu papa. Elle était très surprise car mon père avait quitté pour son travail comme d’habitude tôt le matin. Le soir même, elle mentionna à mon père que je l’avais vu à plusieurs kilomètres de son travail. Il avoua qu’il fréquentait sa cousine (sa maîtresse) et ce, malgré sa promesse faite à son épouse de ne plus la revoir. Mon père est décédé subitement d’un infarctus l’année suivante.
Mais pourquoi cette maladie particulière ne s’est-elle pas déclarée avant 2004 ? C’est que cette année, lors d’une réunion familiale, mon frère et ma sœur m’ont avoué que mon père était très furieux que j’aie mentionné à ma mère que je l’avais VU et qu’il voulait me confronter à ce propos mais ma mère le lui interdisait. Ma prise de conscience concerne le fait que si ma vision avait été déficiente, il est possible que je n’aurais pas reconnu mon père déambulant avec sa maîtresse à cette distance. Mais il y a aussi une subtilité additionnelle car depuis que j’ai appris que mon père était en grande colère contre moi, je me demandais régulièrement si son infarctus massif et fatal serait survenu quand même si je ne l’avais pas aperçu ou si je n’avais pas mentionné cette histoire à ma mère.
Suite à cette prise de conscience, j’ai lâché prise en pardonnant à mon père mais surtout en me pardonnant. Comme résultat, je n’ai pas connu d’autres épisodes d’inflammation oculaire importante depuis 2008.
Hibou
Myasthénie gravis
La manifestation de la maladie a débuté en octobre 2002 par un trouble de la vision, soit diplopie importante (vision double). J’ai rencontré plusieurs optométristes, ophtalmologues, neuro-ophtalmologues, mais personne n’arrivait à poser un diagnostic, ni à comprendre mon problème. En janvier 2003, on m’a injecté du Tensilon et de la cortisone sans aucun succès. Par la suite, j’ai développé un ptôse (paupière tombante) de l’œil gauche alors que mon œil s’ouvrait à peine. J’ai aussi développé un nystagmus (mouvements involontaires de l’œil dans le sens horizontal), surtout de l’œil gauche.
Bref, ce problème était assez handicapant car je pouvais à peine lire, j’ai dû arrêter de conduire ma voiture, je suis tombée quelques fois car je perdais la profondeur en ne regardant qu’avec un seul œil, etc. De plus, je n’avais toujours pas de diagnostic, ni de traitement. Parallèlement à tout cela, j’ai fait comme on dit « le parcours du combattant » et j’ai essayé toutes sortes de méthodes des plus farfelues au plus crédibles.
Ce n’est qu’en juillet 2003, alors que j’avais été référée à l’Institut Neurologique de Montréal, où j’ai passé des tests révélant que je souffrais de « myasthénie gravis ». On m’a alors informée que c’était une maladie neuromusculaire chronique auto-immune. Une maladie « incurable » qui, normalement, se développe, s’aggrave avec parfois des phases de rémission. La faiblesse des muscles est due aux anticorps circulants qui bloquent les récepteurs de l’acétylcholine à la jonction neuromusculaire post-synaptique, inhibant ainsi l’effet stimulant sur le neurotransmetteur, soit l’acétylcholine.
Bref, cette maladie s’attaquait à mes yeux, mais éventuellement, pouvait s’attaquer aux jambes, etc. à n’importe quel muscle de mon corps. Elle pouvait aussi se manifester au niveau des poumons provoquant ainsi un arrêt respiratoire. On m’a prescrit du Mestinon mais sans succès.
Étant résolue et profondément convaincue que j’allais me guérir, j’ai continué mes recherches pour finalement rencontrer M. Bertrand Lemieux avec qui je n’ai eu qu’une rencontre en personne en mai 2003 et environ deux autres par téléphone et courriel. J’ai fait religieusement tous les « devoirs » suggérés et c’est de cette façon en comprenant mon projet-sens d’ambivalence/dualité que j’ai déprogrammé la maladie. Je me suis donc guérie, en très grande partie, avec l’aide de M. Lemieux et suis retournée au travail en décembre 2004 (absence de 2 ans). J’ai suivi des formations en Biologie Totale avec M. Lemieux et par la suite avec M. Claude Sabbah. C’est en prenant le cours de base avec ce dernier que j’ai fini de guérir le peu de symptômes qui restaient. Je n’ai jamais eu de « rechute » de la maladie depuis maintenant plus de 7 ans.
Avec le recul et après avoir suivi plusieurs formations avec M. Lemieux et M. Sabbah, je suis en mesure d’affirmer que lorsque bien appliqués, les principes de la Biologie Totale sont vraiment efficaces et nous amènent à la prise de conscience de notre maladie pour être en mesure de « déprogrammer » ce qui s’était mis en place au début de la maladie. N’oublions pas que ce que l’on nomme « maladie » n’est que le mal qui nous dit que quelque chose ne tourne pas rond, c’est un programme qui assure notre survie en attendant que l’on se réveille et qu’on réalise que nous n’avons plus besoin de cette maladie, de ce symptôme, de cette allergie, etc.
Merci à Messieurs Sabbah et Lemieux, merci à la Biologie Totale et merci à moi-même d’avoir fait ma guérison ! (Il faut, avant tout, être soi-même déterminé à guérir !)
J’essaie maintenant, à mon tour, d’aider le plus de gens possible à comprendre le sens de leurs malaises ou maladies.
Michèle Turcot
11 juillet 2011
Myopie
Je suis myope depuis mes 14 ans. Cela empira jusqu’à mes 20 ans et cela s’est stabilisé pendant 12 ans. Pendant ces 12 ans, mon œil gauche avait une vision de -1,75 et mon œil droit -2,25. Puis à 32 ans une légère amélioration de -0,25 dans chaque œil, à 34 ans la même amélioration ou à peu près. J’estime qu’avant la rencontre avec le Conseiller, mon œil gauche était de -1,25 à -0,75. Mon examen était en effet prévu vers cette période mais je l’ai retardé (avoir su la méga controverse de la Biologie Totale j’y serais allé avant puis après le rendez-vous). Donc je vais au rendez-vous d’une heure et le lendemain, je n’ai plus eu besoin de verre de contact pour l’œil gauche. Un mois après je suis allé à mon rendez-vous chez l’optométriste qui indiqua que la vue de mon œil gauche était absolument parfaite. Celle de mon œil droit est maintenant de -0,75. Je pense qu’il y a un double conflit non réglé mais j’ai décidé d’attendre pour le régler. La Biologie Totale m’a aidé à terminer un travail amorcé inconsciemment pour mon oeil gauche. Il ne restait pas beaucoup de travail à faire mais j’ai beaucoup apprécié de comprendre le phénomène.
Le concept de la Biologie Totale m’a aussi expliqué des maladies passées comme d’énormes crises de sinusites que j’ai réglées avant de les comprendre. Cela m’aide aussi avec de petits malaises quotidiens et ceux de ma famille. J’ai des livres de référence que je consulte selon le problème et cela règle bien souvent avant que cela empire. Dans mon sens il faut accepter les traitements médicaux qui soulagent le mal et nous permet de libérer l’esprit. Moi quand je souffre je ne pense pas!!! Quand j’ai le rhume je prends du Tylénol et du NyQuil mais j’essaie aussi de trouver et relativiser sans juger le satané conflit relationnel que j’ai eu avant pour éviter que ça ne revienne.
J.S.
Perte de la vision
Charlène a 6 ans en août 2009. Elle a une perte de vision totale de son œil gauche et 40% de son œil droit.
Son père est militaire de carrière. En 2008, il part avec la petite famille au Gabon pour deux ans. Parents, oncles et tantes promettent d’aller les visiter aux vacances 2009. Cela se réalise et trois jours après leur départ pour retourner chez eux, la vision de Charlène s’est mise à se détériorer. Sa mère et ma sœur, la grand-mère, me donnent les informations par téléphone et courriel et nous avons demandé à la petite ce qu’elle avait vécu à cette occasion. Sa réponse fut « Peur de ne plus revoir la famille ! »
Elle est revenue en France pour suivre des traitements. Pendant ce temps, elle habita chez sa grand-mère qui a pu échanger avec elle et lui expliquer pourquoi, suite à cette peur trop forte, son cerveau avait décidé de fermer sa vision. C’était pour éviter qu’elle souffre et surtout la rassurer que ce n’était que temporaire vu qu’elle reviendrait à l’été 2010 et qu’elle serait à nouveau avec la famille. Dans les trois semaines suivantes, son œil droit récupéra à 100% et il y avait une grande amélioration de son oeil gauche. Aujourd’hui, tout est revenu à la normale à 100 %.
Yeux (Myasthénie, myopie, perte de vision, uvéite rhumatismale)
YEUX
Uvéite rhumatismale (œil droit)
Il s’agit d’une maladie auto-immune de type rhumatismal. Jeune enfant, j’ai subi un rhumatisme articulaire aigu (RAA) suite à une infection bactérienne à streptocoques. Cela a eu un impact majeur sur les valves de mon cœur tel que diagnostiqué quelques mois après cette fièvre rhumatismale. Quant à mon uvéite à l’œil droit, elle fut diagnostiquée en 2004 au CHUM alors que je subissais une douleur oculaire intense avec photophobie. Au cours des deux années suivantes, j’ai dû me présenter périodiquement d’urgence au département d’ophtalmologie à tous les 2 ou 3 mois. On me prescrivait alors des corticoïdes ainsi que des gouttes ophtalmologiques pour dilater la pupille.
Lors d’un séminaire en Biologie Totale en 2008, j’ai fait une prise de conscience remarquable quant à la piste probable de cette maladie. L’événement date de 1986. Je circulais en voiture un jour de semaine et j’ai vu mon père qui déambulait sur le trottoir avec une dame qui m’était inconnue. Visitant ma mère plus tard cette même journée, je lui ai dit que j’avais vu papa. Elle était très surprise car mon père avait quitté pour son travail comme d’habitude tôt le matin. Le soir même, elle mentionna à mon père que je l’avais vu à plusieurs kilomètres de son travail. Il avoua qu’il fréquentait sa cousine (sa maîtresse) et ce, malgré sa promesse faite à son épouse de ne plus la revoir. Mon père est décédé subitement d’un infarctus l’année suivante.
Mais pourquoi cette maladie particulière ne s’est-elle pas déclarée avant 2004 ? C’est que cette année, lors d’une réunion familiale, mon frère et ma sœur m’ont avoué que mon père était très furieux que j’aie mentionné à ma mère que je l’avais VU et qu’il voulait me confronter à ce propos mais ma mère le lui interdisait. Ma prise de conscience concerne le fait que si ma vision avait été déficiente, il est possible que je n’aurais pas reconnu mon père déambulant avec sa maîtresse à cette distance. Mais il y a aussi une subtilité additionnelle car depuis que j’ai appris que mon père était en grande colère contre moi, je me demandais régulièrement si son infarctus massif et fatal serait survenu quand même si je ne l’avais pas aperçu ou si je n’avais pas mentionné cette histoire à ma mère.
Suite à cette prise de conscience, j’ai lâché prise en pardonnant à mon père mais surtout en me pardonnant. Comme résultat, je n’ai pas connu d’autres épisodes d’inflammation oculaire importante depuis 2008.
Hibou
Myasthénie gravis
La manifestation de la maladie a débuté en octobre 2002 par un trouble de la vision, soit diplopie importante (vision double). J’ai rencontré plusieurs optométristes, ophtalmologues, neuro-ophtalmologues, mais personne n’arrivait à poser un diagnostic, ni à comprendre mon problème. En janvier 2003, on m’a injecté du Tensilon et de la cortisone sans aucun succès. Par la suite, j’ai développé un ptôse (paupière tombante) de l’œil gauche alors que mon œil s’ouvrait à peine. J’ai aussi développé un nystagmus (mouvements involontaires de l’œil dans le sens horizontal), surtout de l’œil gauche.
Bref, ce problème était assez handicapant car je pouvais à peine lire, j’ai dû arrêter de conduire ma voiture, je suis tombée quelques fois car je perdais la profondeur en ne regardant qu’avec un seul œil, etc. De plus, je n’avais toujours pas de diagnostic, ni de traitement. Parallèlement à tout cela, j’ai fait comme on dit « le parcours du combattant » et j’ai essayé toutes sortes de méthodes des plus farfelues au plus crédibles.
Ce n’est qu’en juillet 2003, alors que j’avais été référée à l’Institut Neurologique de Montréal, où j’ai passé des tests révélant que je souffrais de « myasthénie gravis ». On m’a alors informée que c’était une maladie neuromusculaire chronique auto-immune. Une maladie « incurable » qui, normalement, se développe, s’aggrave avec parfois des phases de rémission. La faiblesse des muscles est due aux anticorps circulants qui bloquent les récepteurs de l’acétylcholine à la jonction neuromusculaire post-synaptique, inhibant ainsi l’effet stimulant sur le neurotransmetteur, soit l’acétylcholine.
Bref, cette maladie s’attaquait à mes yeux, mais éventuellement, pouvait s’attaquer aux jambes, etc. à n’importe quel muscle de mon corps. Elle pouvait aussi se manifester au niveau des poumons provoquant ainsi un arrêt respiratoire. On m’a prescrit du Mestinon mais sans succès.
Étant résolue et profondément convaincue que j’allais me guérir, j’ai continué mes recherches pour finalement rencontrer M. Bertrand Lemieux avec qui je n’ai eu qu’une rencontre en personne en mai 2003 et environ deux autres par téléphone et courriel. J’ai fait religieusement tous les « devoirs » suggérés et c’est de cette façon en comprenant mon projet-sens d’ambivalence/dualité que j’ai déprogrammé la maladie. Je me suis donc guérie, en très grande partie, avec l’aide de M. Lemieux et suis retournée au travail en décembre 2004 (absence de 2 ans). J’ai suivi des formations en Biologie Totale avec M. Lemieux et par la suite avec M. Claude Sabbah. C’est en prenant le cours de base avec ce dernier que j’ai fini de guérir le peu de symptômes qui restaient. Je n’ai jamais eu de « rechute » de la maladie depuis maintenant plus de 7 ans.
Avec le recul et après avoir suivi plusieurs formations avec M. Lemieux et M. Sabbah, je suis en mesure d’affirmer que lorsque bien appliqués, les principes de la Biologie Totale sont vraiment efficaces et nous amènent à la prise de conscience de notre maladie pour être en mesure de « déprogrammer » ce qui s’était mis en place au début de la maladie. N’oublions pas que ce que l’on nomme « maladie » n’est que le mal qui nous dit que quelque chose ne tourne pas rond, c’est un programme qui assure notre survie en attendant que l’on se réveille et qu’on réalise que nous n’avons plus besoin de cette maladie, de ce symptôme, de cette allergie, etc.
Merci à Messieurs Sabbah et Lemieux, merci à la Biologie Totale et merci à moi-même d’avoir fait ma guérison ! (Il faut, avant tout, être soi-même déterminé à guérir !)
J’essaie maintenant, à mon tour, d’aider le plus de gens possible à comprendre le sens de leurs malaises ou maladies.
Mystique
11 juillet 2011
Myopie
Je suis myope depuis mes 14 ans. Cela empira jusqu’à mes 20 ans et cela s’est stabilisé pendant 12 ans. Pendant ces 12 ans, mon œil gauche avait une vision de -1,75 et mon œil droit -2,25. Puis à 32 ans une légère amélioration de -0,25 dans chaque œil, à 34 ans la même amélioration ou à peu près. J’estime qu’avant la rencontre avec le Conseiller, mon œil gauche était de -1,25 à -0,75. Mon examen était en effet prévu vers cette période mais je l’ai retardé (avoir su la méga controverse de la Biologie Totale j’y serais allé avant puis après le rendez-vous). Donc je vais au rendez-vous d’une heure et le lendemain, je n’ai plus eu besoin de verre de contact pour l’œil gauche. Un mois après je suis allé à mon rendez-vous chez l’optométriste qui indiqua que la vue de mon œil gauche était absolument parfaite. Celle de mon œil droit est maintenant de -0,75. Je pense qu’il y a un double conflit non réglé mais j’ai décidé d’attendre pour le régler. La Biologie Totale m’a aidé à terminer un travail amorcé inconsciemment pour mon oeil gauche. Il ne restait pas beaucoup de travail à faire mais j’ai beaucoup apprécié de comprendre le phénomène.
Le concept de la Biologie Totale m’a aussi expliqué des maladies passées comme d’énormes crises de sinusites que j’ai réglées avant de les comprendre. Cela m’aide aussi avec de petits malaises quotidiens et ceux de ma famille. J’ai des livres de référence que je consulte selon le problème et cela règle bien souvent avant que cela empire. Dans mon sens il faut accepter les traitements médicaux qui soulagent le mal et nous permet de libérer l’esprit. Moi quand je souffre je ne pense pas!!! Quand j’ai le rhume je prends du Tylénol et du NyQuil mais j’essaie aussi de trouver et relativiser sans juger le satané conflit relationnel que j’ai eu avant pour éviter que ça ne revienne.
J.S.
Perte de la vision
Charlène a 6 ans en août 2009. Elle a une perte de vision totale de son œil gauche et 40% de son œil droit.
Son père est militaire de carrière. En 2008, il part avec la petite famille au Gabon pour deux ans. Parents, oncles et tantes promettent d’aller les visiter aux vacances 2009. Cela se réalise et trois jours après leur départ pour retourner chez eux, la vision de Charlène s’est mise à se détériorer. Sa mère et ma sœur, la grand-mère, me donnent les informations par téléphone et courriel et nous avons demandé à la petite ce qu’elle avait vécu à cette occasion. Sa réponse fut « Peur de ne plus revoir la famille ! »
Elle est revenue en France pour suivre des traitements. Pendant ce temps, elle habita chez sa grand-mère qui a pu échanger avec elle et lui expliquer pourquoi, suite à cette peur trop forte, son cerveau avait décidé de fermer sa vision. C’était pour éviter qu’elle souffre et surtout la rassurer que ce n’était que temporaire vu qu’elle reviendrait à l’été 2010 et qu’elle serait à nouveau avec la famille. Dans les trois semaines suivantes, son œil droit récupéra à 100% et il y avait une grande amélioration de son oeil gauche. Aujourd’hui, tout est revenu à la normale à 100 %.